@Jonas
« Est-ce qu’il faut laisser les musulmans nous tuer pour se conformer à la déclaration des droits de l’homme ? »
Il n’y a absolument rien dans la Déclaration des droits de l’Homme qui justifie de tuer celui qui ne pense pas comme vous.C’est tout le contraire et c’est bien parce qu’elle n’est pas connue comme votre réponse le prouve,que des individus croient avoir le droit de tuer au nom de leur religion !
Les pratiquants des religions qui la connaissent,la comprennent,la respectent et l’appliquent ne tuent pas les croyants d’une autre religion et des athées !
Article 3 :
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Article 4 :
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont
interdits sous toutes leurs formes.
Article 5 :
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou
dégradants.
Article 6 :
Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.
Article7 :
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la
loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la
présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.
Article 8 :
Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales
compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par
la constitution ou par la loi.
Article 9 :
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.
Article 10 :
Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue
équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera,
soit de ses droits et obligation
Article 28 :
Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un
ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y
trouver plein effet.
Article 29 : .
2. Dans l’exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n’est
soumis qu’aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d’assurer la
reconnaissance et le respect des droits et libertés d’autrui et afin de satisfaire aux justes
exigences de la morale, de l’ordre public et du bien-être général dans une société
démocratique.