@pallas je vous rejoins Buzzcocks m a repris sur mon commentaire . D’abord je suis déjà d une génération ou l enseignement du francais comme des mathématiques a été négliges et torpilles par les multiples réformes successives .Cet enseignement a donc in fine ete tres peu coherent De surcroit les professeurs dont ceux de francais en particulier ( 4 eme et seconde absence dès la rentrée et en cours d’année en seconde , dépression une seconde nature chez les profs ) donc a ce Buzz a la con que je conchie , on se démmerdait , nous n’avions pas l opportunite d’avoir un précepteur à la maison. Par ailleurs si la fracture sociale n’etait pas aussi franche qu aujourd’hui, elle existait Outre que les classes etaient surchargees ( 35 minimun en primaire ) et assimilation de nombreux immigres a partir de la sixième ( il n y avait pas de violence à cette époque immigration espagol et italienne de bons potes ) , la différence des niveaux culturels etaient marquées entre les prolos que nous étions et la bourgeoisie Quand je lis ce papier, je souris tant la bobitude a gagne les esprits, nous n avions pas eu l emulation que nous aurions du avoir Quant au contexte plus general, peu de sport tres peu de culture ( musique pas de bibiotheques en internat ) et pourtant nous allions pas casser pisser dans les couloirs et peter le nez à un prof. J’ai une collegue au travail dont ces quatre gosses sont allés dans le privé Je doute fort qu ils aient pu reussir s ils avaient eu le meme cursus Idem a Lyon j’ai connu une petite fille de notaire dans le prive, je n’ai jamais eu le même suivi scolaire, fille brillante mais qui aurait chu dans le public parce fragile psychologiquement. .Aimer la france contemporaine, non non et non celle de mon enfance je l’acceptais à peine .