@Elliot
Vous voyez sur certains sujets nous sommes en osmose,
j’ai,la même analyse que vous sur à peu près toutes les approches.
En fait tout
dépendra dans la réforme de l’enseignement primaire avec la part
accrue donnée aux fondamentaux, le français et le calcul.
Car tout le reste
découle de là.
Entièrement d’accord, si les fondamentaux ne sont pas maîtrisés, il faut que le terreau soit porteur pour y faire fructifier la richesse des langues vivantes et du latinet du grec, sinon c’est semer sur des cailloux.
On voit trop souvent
des personnes – même diplômées - incapables de maîtriser
l’orthographe ou la grammaire et négliger les règles les plus
élémentaires de la syntaxe mais qui néanmoins ne dédaignent pas
de s’exprimer par écrit, ce qui qu’on le veuille ou non conduit
à un abaissement de la langue.
Entièrement d’accord, à mon époque il existait un examen fin de primaire pour passer en sixième et ne passaient en 6ème que ceux qui possédaient les fondamentaux, les autre suivaient un cycle court jusqu’au certificat d’étude et partaient en apprentissage pour apprendre des métiers où certains excellaient et qui étaient respectés et admirés pour leur savoir faire.
J’ai personnellement fait des recrutement à bac plus 3 ou 5 et c’était parfois insupportable , par l’expression, la grammaire, le manque de compréhension, ou même de présentation de leur lettre de motivation ou curriculum.
La culture générale ne doit pas être abandonnée au bénéfice d’un diplôme obtenu sur une matière unique.
Cela produite de esprits boiteux.
Le projet de ce ministre me parait cohérent à part les zones d’ombre que j’ai relevées, mais il faudra juger aux résultats.