Commentaire de jack mandon
sur Poètes de la nature, passeurs d'éternité
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@LionBlanc
Dans le Valais suisse que j’ai choisi pour rêver à l’impossible, un écrivain valaisan Charles-Ferdinand Ramuz nous dévoile sa vision de l’emprise de la société de l’avoir sur le peuple de la montagne. Les montagnards, dans leur rudesse coutumière sont à priori bien loin des projections de l’imaginaire. Pragmatiques, en prise avec la dure réalité il semblent protégés de ce qui tente l’âme citadine. Dans « La grande peur dans la montagne » le prince de ce monde" les terrorise inconsciemment et asservit leur imaginaire.
Curieux, Ramuz aux deux prénoms, Charles, celui de Baudelaire, Ferdinand, celui de Céline. Un bon mélange qu’il extériorise dans cette tragédie moderne.
Derniers commentaires
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12/06 12:31 - LionBlanc
@Jack Mandon, je vous invite à venir voir mon blog sur google + au pseudo définitif de Lion (...)
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12/06 10:20 - jack mandon
@LionBlanc Dans le Valais suisse que j’ai choisi pour rêver à l’impossible, un (...)
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12/06 09:35 - jack mandon
@LionBlanc Bonjour discrète mais identifiable apparition, Vous avez deviné, mon intention (...)
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11/06 15:00 - LionBlanc
Cette vidéo s’accorde parfaitement avec l’article. https://www.youtube.com/watch?v=iF6C
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09/06 09:50 - jack mandon
@L’enfoiré http://img.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L320xH240/mobiusescher-2-cdf45.gif
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09/06 09:35 - jack mandon
@Taverne "Mais ce monde ne nous offre pas le luxe de vraiment penser ; il nous jette (...)
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