Une force de 24 000 000 d’abstentionnistes : C’est bien le maître mot et merci d’en parler.
Ce qui est très intéressant sur ces 24 millions de personnes, c’est qu’une partie, encore très minoritaire, comprend le fond du problème et fait l’effort de réflexion d’une part, de ce qu’on leur vend par le biais de ces élections mais aussi des moyens utilisés pour y arriver.
La multiplicité des candidatures, témoignent des fausses intentions des partis politiques à vouloir rassembler, celle-ci n’est pas étrangère à la bien connue stratégie « Diviser pour mieux régner ».
Le moins que l’on puisse dire est que ça tellement bien marcher, qu’aujourd’hui c’est le principe démocratique qui remonte à la surface avec la question de la représentativité. Ceci n’est pas arrivé tout seul et il y a des raisons bien précises qui autorisent une telle dérive, légale, à défaut d’être morale. Etrangement aucun des partis politiques ne veut mettre le doigt sur cette question fondamentale (sa simple évocation déclenche une réaction épidermique du mouton moyen). Il faudra peut être que le peuple perde ce qu’il a de plus cher, pour comprendre l’importance et sa part de responsabilité dans ce qu’il est en train d’autoriser et de cautionner. Cela un petit nombre l’a compris, d’autre sont en cours d’assimilation, le point positif de ce qui se passe en ce moment est que le phénomène prend de l’ampleur et que la question commence à s’étaler au grand jour. Au point où ce sujet ne pourra plus être occulté par la grossière déformation que les médias traditionnels lui consacrent afin de le noyer dans ce concept idéologique de la pensée unique imposée par l’oligarchie régnante et que les principaux partis représentent.