C’est à dire que tous les protagonistes cherchaient réellement à faire
la paix. Yitzhak Rabin, Shimon Peres et Yasser Arafat reçurent
d’ailleurs le prix Nobel de la paix en 1994 pour leur action.
à l’auteur,
Comment pouvez-vous écrire de pareilles sottises ? Arafat n’a jamais eu la moindre intention de faire la paix. Il n’y a aucune espèce de rapport entre les discours qu’il tenait en anglais pour la galerie internationale, et qui procédaient de la takiya et les diatribes qu’il proférait en arabe et qu’on connaît désormais très bien. La charte de l’OLP, que je sache, n’a jamais été modifiée, malgré les exigences maintes fois formulées d’un Netanyahou. Relisez-la, vous serez édifié.
La grosse erreur de Rabin, comme celle plus tard de Sharon abandonnant en 2005 l’occupation de la bande de Gaza - et ces deux-là auront pourtant pourtant été des hommes tout à fait estimables dans leurs intentions - aura été de ne rien comprendre à la stratégie tordue des Palestiniens qu’on voit de mieux en mieux à l’oeuvre. Ces derniers avaient récemment promis, lors de la visite de Trump qui avait sévèrement remonté les bretelles au vieux de Ramallah, de ne plus servir de pensions aux terroristes. Il s’avère, de leur aveu même, que s’ils envisagent de cesser cette pratique odieuse concernant les assassins du Hamas, ils continuent d’arroser les familles des tueurs qui vivent agi dans les territoires dépendant de l’Autorité palestinienne.
Les explications que vous nous servez (je n’ai pas encore tout lu) sont une vraie caricature des fictions qui ridiculisent le Quai d’Orsay.