@Philippe VERGNES
vaste sujet, et à vouloir trop embrasser, ...
Je ne vais pas engager ici un dialogue théorique, je vais seulement raconter en deux mots, un film que j’ai vu un jour il y a déjà longtemps, et qui a rapport avec le sujet que vous développez comme vous allez le voir.
« Au début, on voit une petite famille vivre au quotidien, ceci pour situer les personnages. Puis se produit sous nos yeux une scène surprenante : une nuit, le fils rejoint sa mère dans un lit, à moins que ce soit l’inverse. Ébats initiatiques, plus ou moins explicites à l’écran.
»Puis le fils sort de la chambre, et se rend dans diverses chambres occupées par des femmes seules, plus ou moins étrangères à sa famille. Ébats encore.
« Le lendemain matin, toute la famille se retrouve au petit déjeuner. Tout le monde sait ; personne n’en parle ; tout le monde est à l’aise.est à l’aise. »
Je n’ai pas besoin d’en dire davantage, sinon ceci : des films comme ça ont fait mille fois plus de tort à la psychanalyse que « le Livre noir » et tous les Michel Onfray réunis de la Terre.