@RougePomme
« Mais la crétinerie du marxiste vulgaire et crasse gogocho, c’est de ne pas comprendre que le Capital se fout du travail et de la production. »
Décidément votre
vulgarité lassante et radoteuse n’a d’égale que votre ignorance des
ressorts économiques et de la conscience qu’en ont les détenteurs
du capital !!!
Quand le MEDEF parle
de charge pour les salaires, c’est un langage de faux-cul dont vous
êtes dupe.
Il sait très bien
le MEDEF, malgré son discours destiné à égaré les esprits
faibles, que la seule source de richesses et donc de revenus pour le
capital c’est le travail et qu’en réalité c’est le capital qui est
une charge, un parasite inutile pour une entreprise en
fonctionnement.
Le capital n’est
utile qu’à la création de l’entreprise quand elle ne peut acquérir
le matériel, les locaux nécessaires pour démarrer la production.
Grâce à lui, les entrepreneurs peuvent s’équiper. Sur le plan
financier, c’est comparable à l’acquisition d’un bien immobilier ou
de consommation.
Le problème est que
si un emprunt immobilier, une fois remboursé, laisse l’acheteur
propriétaire de son bien, l’avance de trésorerie consentie à
l’entreprise naissante par le capital n’est pas remboursée par le
travail, ce qui permet au capitaliste de rester propriétaire et de
décider du montant de ses taux d’intérêts, c’est-à-dire de
maximiser ses profits qui sont prélevés, bien entendu, sur le
travail.
Dans une société
intelligente, on permettrait aux travailleurs de l’entreprise de
rembourser l’avance de trésorerie nécessaire à sa création et
comme il s’agit de crédit, c’est-à-dire de confiance de ceux qui
livrent l’équipement et les locaux, ce pourrait être une
collectivité, l’état ou un groupement d’épargnants qui
fourniraient le capital de départ pour être remboursé ensuite.
Mais voyons, cela
existe déjà, ce sont les coopératives ouvrières, que le patronat
essaie de couler de toutes les façons, tant il craint leur
généralisation !
Et c’est aussi pour
ça que le financement par des groupements de particuliers est
interdit sous le fallacieux prétexte de protéger ceux-ci des
faillites d’entreprises, en réalité pour que les entreprises
restent sous la coupe de la rente parasite.
Ce verrou rigoureux
sautera peut-être si les possesseurs de monnaie internet (type
bitcoin) investissent dans l’industrie au sens large. Encore faut-il
que les États reconnaissent le bitcoin comme un instrument de
paiement égal à leurs propres monnaies. Et cette possibilité sera
combattue violemment par les lobbies des banques et les capitalistes
qui seraient ainsi hors-jeu.