@la mouche
Tu ne fait que m’interroger :(
L’histoire est longue, mais disons que tu pourrais comparer le traitement des trisomiques dans la post-romanité/bas moyen age (Discrimination positive a l’emploi et interdiction tacite du mariage) avec leur traitement dans l’occident moderne (98% avortés, 2% intégration furtive par éducation spécialisé)
Tu peut aussi comparer le traitement des autistes au 17-18 éme siècles (Plus ou moins considéré comme des légumes a charges, désocialisé), avec leur traitement moderne (Éducation spécialisé systématique et facilités d’intégration soutenue par de la propagande et des allocations)
Tu peut t’intéresser aux pas de jambes pas de bras, qui sont remarquablement absent de l’histoire a certaines époques. Ou encore aux nains et géants, aux hystériques et nymphomanes... L’humanité globalement exclus les mutants de la reproduction, même s’il peuvent contribuer a la société.
Méme s’il y a des politique de modification active de l’espèce dans le passé, Sparte tue les avortons, Rome baise ses esclaves, les Rois massacrent leurs sujets déloyaux et nobifient les loyaux... Les colonies ont une stratégie de métissage ou d’acclimatation.
Méme s’il eu récemment nsdap, bolchévisme & maoisme, Méme s’il y a de nos jours ces tarés de transumanistes et de singularitionistes, « Messa » et diverses organisations de mutants. Le dogme génétique c’est le han, l’ouma, et quelques autres ethnocentrisme. Le métissage impérial, fédéral.
La « préservation de la forme » est la plus influente aspiration eugénique de l’histoire, y compris récente.
Adieu.