@ Julie,
Attention avec ce genre d’énergumène. Lorsque l’on « titille » la bête elle finie toujours par sortir.
Où kalachnikov veut en venir, c’est très simple... il le dit lui même
7 juillet 22:53, (parlant de Freud) :
« je ne me prosternerai pas devant lui cet usurpateur, et qu’il sache bien qu’un jour je le ferai tomber de son Olympe tout en trompe-l’oeil et qu’il sache bien que, ce jour-là, maman Gaia orgasmera à donf’... »
Outre le fait que je signale qu’il parle à un mort, il me semble que son projet est parfaitement clair. Le reste n’est qu’enfumage (et négation consciente/inconsciente des interdits fondamentaux)
On retrouve là dans ces « échanges » toute la structure de la rhétorique paradoxale et perverse sur laquelle j’ai déjà rédigé plusieurs articles. J’ai prévu d’y revenir tant le sujet est important pour bien comprendre la perversion (qui est une défense de type paradoxal venant en défense d’une psychose latente... ce qui n’est pas rien). Je ne sais pas quand je pourrais prendre le temps de rédiger cet article.
Quelques pistes toutefois : discours paradoxal et confusiogène (
faite ce que je dis et pas ce que je fais...) ; inversion, je t’accuse de mes propres fautes (tutoiement) ; épanorthose (un concept que je me réserve depuis longtemps et que je n’ai pas encore exposé) ; disqualifications et dénigrements constants justifiés par une argumentation digressive qui n’a pas grand chose (ou rien) à voir avec le sujet ; forte opposition (NON... NON... NON ! Comme les tout petits qui n’ont pas encore franchi le stade dit justement « œdipien ») ; parole de gascon, « restons sérieux ! », pour mieux en mettre une couche par la suite... Bref, tout ceci relève d’un discours qui cherche à dominer son interlocuteur dans le non respect de son altérité afin de mieux imposer ses idées ET jouir de la victoire finale afin de se prémunir de son angoisse narcissique.
C’est la qu’intervient la castration... et le castrateur... c’est à dire moi. Or, castrer un pervers qui a construit toute sa personnalité sur pour éviter l’angoisse de castration et contourner les lois des interdits fondamentaux, ça... vous comprendrez que ça peut pas passer. D’où l’excitation !
La prochaine étape, c’est la crise narcissique lorsqu’il sera « mûr » à point !