@Carte Senior
appeler un chat... un chat ! Et oser dire l’égorgement est un rite ancré dans l’islam depuis Mahomet.
L’égorgement est la pratique la plus répandue pour terroriser les adversaire de l’Islam.
Inaugurée par le fondateur de l’Islam, Mahomet, le « beau modèle » lui même, la tradition de l’égorgement est présente dans cette religion depuis ses origines.
Dans le Coran, il y a de nombreux versets appelant à « frapper au cou » et la transcription de la parole de Dieu par Mahomet, contient ce hadith (principe fondamental) :
« Je suis venu à vous par l’égorgement, a dit Allah » (Abu Ya’La, hadith n° 7285).
Aux premiers temps de l’islam, nombre de personnes refusant de se convertir à la nouvelle religion ont été décapitées. Ce fut le cas d’Asmâ bint Marwan, qui faisait des vers critiques pour le prophète Mohammed, décapitée par un homme de son clan.
Ce fut aussi le cas des poètes Abou Afak et Kaab Ibn Achraf, ainsi que de tous les hommes de la tribu juive des Banu Qurayza : après la bataille dite du Kindaq (fossé), ils furent ligotés et décapités pour trahison sur la place de Médine.
Cette pratique du couteau, observée aussi à Jérusalem (de nombreux Palestiniens ont agressé des Israéliens à l’arme blanche, encore la semaine dernière, trois personnes d’une meme famille ont été égorgées durant leur repas ) se retrouve aussi dans la célébration islamique de l’Aïd-el-Kébir.