@MagicBuster
@Claude Simon
Pour ce qui est du pétrole, on peut encore polluer la planète pour 40 maximum si l’on s’en tient aux seules réserves et productions actuelles.
Ne vous tracassez pas, les américains, chinois, russes, européens et autres cherchent déjà dans les endroits les plus incongrus et surtout les plus sauvages, dans les sanctuaires de la biodiversité de potentielles nappes d’hydrocarbures.
Les pétroliers se foutent éperdument de l’avenir de la planète et attendent cyniquement la fonte du pôle Nord pour pouvoir prospecter le pétrole...
Des territoires autrefois interdits aux industriels du pétrole sont aujourd’hui ouverts à la prospection et bientôt à l’exploitation...
Tout est permis et on fait n’importe quoi. Plus les pays émergents deviennent riches et plus ils achètent de bagnoles...
Un des indices de bonne santé d’un pays est le chiffre des ventes d’automobiles...Alors, il ne reste plus beaucoup d’espoir.
Il faudrait se passer du pétrole et ça, personne ne le souhaite, ça rapporte trop.
La seule énergie non-fossile inépuisable, c’est le soleil.
Impossible de remplacer le parc des véhicules au niveau mondial par des véhicules solaires ( dont nous savons tous qu’ils pourraient être produits ) et puis nous n’avons plus les temps.
Il nous reste peut-être 200 ans pour changer radicalement notre mode de vie productiviste et consumériste qui use les ressources naturelles de la Terre, actuellement, il nous faudrait deux planètes alors dans 1 siècle, ce sera dix à ce rythme-là.
La révolution industrielle et le début du saccage de la planète n’a pas 2 siècles : dans ce laps de temps, nous avons détruit plus de la moitié des ressources de la planète, si nous avançons à ce rythme et nous continuons, poussés par la « croissance » nous sommes en danger de mort imminente.
Je donne à l’humanité deux siècles maximum de vie sur Terre. Nous mourrons petit à petit de faim, de soif, de maladies, de misère, et du rétrécissement des espaces vitaux.
Il restera les animaux ( ou ce qu’il en reste ) et les plantes pour habiter la Terre qui se remettra très bien de notre passage fulgurant mais destructeur.