Pourquoi ne pas appeler un
chat, un chat, et dire que la fameuse mixité sociale, est., en réalité, la
mixité ethnique ?
« Le Monde » du 29
juillet a mis les pieds dans le plats en découvrant non seulement que les Blancs
existent, mais qu’en plus, ils ont des comportements collectifs.
L’un d’eux, en Europe comme
en Amérique, s’appelle le White Flight, et il consiste à déménager dès que
possible lorsqu’on se trouve plongé dans un environnement où l’élément
non-Blanc prédomine.
Certains se souviennent
peut-être de ses mères maghrébines et subsahariennes de Montpellier, déplorant
la disparition des petits blonds et des petits rouquins des classes que
fréquentent leurs enfants.
Pas tellement d’ailleurs par
goût du multiculturalisme que pas crainte de se voir accorder des fonds de
tiroir enseignants par l’Education nationale.
Actuellement, le Grand
Remplacement prend la forme d’une multiplication d’enclaves – le phénomène a
commencé il y a plus de vingt ans – qui se déploient sur le territoire national
comme les pierres sur un plateau de go.
Traitant du cas de
Chanteloup-les-Vignes, « Le Monde » donne la parole à des témoins qui
envoient valdinguer le politiquement correct et l’antiracisme bien loin des
conventionnelles plates-bandes du quotidien vespéral :
« Les populations précaires sont remplacées par des populations encore
plus précaires, tempête
Catherine Arenou, maire (Les Républicains, LR) de la ville. Nous recréons des poches de
grande pauvreté avec de fortes concentrations ethniques. J’ai l’impression
d’écoper la mer à la petite cuillère. »
« On a pensé qu’en remettant trois fleurs et
en cassant quelques immeubles, on arriverait à attirer des Blancs, mais c’est
un vœu pieux », juge
Catherine Arenou.
« En
réalité, depuis le début, ce qui est en jeu, c’est la mixité ethno-raciale,
décrypte le sociologue Renaud Epstein. L’objectif n’est jamais affiché
officiellement dans ces termes, car la loi l’interdit, mais c’est bien
ainsi qu’il est formulé officieusement. »
« Arona Seck, 35 ans, coordinateur des
médiateurs de Chanteloup-les-Vignes, ne prend pas plus de pincettes que la
maire : « La rénovation urbaine ? Bah oui, ça veut dire faire venir des Blancs.
C’est ce qui nous manque, c’est ce qui a disparu. »
« …les populations des grands ensembles
regrettent beaucoup le départ de la population européenne qu’ils appellent les
Blancs. » Yoan Miot, maître de conférences à l’école d’urbanisme
de Paris
Après
le retour de la race blanche, celui du clivage « nous » (populations
des grands ensembles) « eux », (les Blancs).
Tous ceux qui savaient
que la négation des « races » et l’antiracisme frénétique étaient des
bombes à retardement, ne sont pas surpris par ce fiasco du politiquement
correct. Et il y en aura d’autres, beaucoup d’autres. Sous le règne du bellâtre de l’Elysée.