Commentaire de nico
sur Langues étrangères et commerce extérieur
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A lire la déclaration de William Auld, je me dis qu’il a été sage de ne pas lui donner le Nobel. Les hésitations, les accents, les idiomes existent dans toutes les langues. L’esperanto s’il simplifie les aspects grammaticaux, n’échappe pas à ça.
Je constate que trop d’esperantistes veulent jouer un rôle d’évangéliste. La proposition de l’avant dernier paragraphe de l’article me parait tellement plus belle que l’esperanto seul, froid et présenté comme solution miracle. Au mieux, l’esperanto reste un bel outil de communication.
Derniers commentaires
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25/11 07:09 - Henri Masson
Il ne me semble pas qu’il existe une clé d’espéranto à partir du français, mais ce (...)
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24/11 14:28 - Alexandre Santos
“ces clés, [...] étaient de minuscules brochures de format à peu près égal à celui de la (...)
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24/11 14:24 -
A propos d’évangélisme quel nom faut-il donner au prosélytisme pour l’anglais qui a (...)
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24/11 13:06 - krokodilo
Nico, je crois qu’on peut combiner les deux, de même que beaucoup de Français parlent (...)
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24/11 11:53 - Henri Masson
L’évangélisme à l’américaine pour l’anglais, si le terme « évangélisme » vous (...)
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24/11 11:42 - skirlet
Je suis d’accord que le terme « évangélisme » est mal choisi. J’ajouterai que (...)
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