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Commentaire de Gambetta

sur Redha Malek : Un patriote intègre qui avait l'Algérie au cœur


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Gambetta 5 août 2017 07:05

@El_Arabi_El_Acil

lis un peu les journalistes de ton pays, ils sont courageux eux malgrè la censure, et leur analyse n’est pas une farfelue comme la tienne.
Essaie de réflechir autrement que comme un tambour
Tu n’es en phase ni avec l’histoire ni avec l’Algérie actuelle.

ARTICLE EL WATAN ORAN

Après cinquante ans d’indépendance,

EXTRAIT du journal Algérien EL WATAN pour le cinquantenaire de l’indépendance.


la jeunesse algérienne rêve de liberté

En ce cinquantenaire de l’indépendance,

les jeunes Algériens rêvent

de liberté. Nés durant la crise des

années 1980 ou pendant la folie

meurtrière des années 1990, ils ne

retiennent du combat des hommes

du 1er Novembre que de vagues notions

apprises à l’école. « L’indépendance représente la

fin d’une galère et l’avènement d’une autre, plus

grande encore », nous dit ainsi Amine, soulignant

qu’il ne peut s’empêcher de penser que l’Algérie

ne méritait pas un tel destin.

« J’étouffe », nous dit-il. Sur ses frêles épaules

repose une pression presque inhumaine : « Nous

avons des projets, des ambitions, mais toutes les

portes sont fermées. Face à cela, nos parents

attendent beaucoup de nous et tout ce qu’on peut

leur offrir, c’est l’image d’un jeune qui regarde le

temps passer ». Amine « étouffe » parce qu’à vingt

ans, on l’empêche de rêver.

« Ceux qui ont pris les armes contre la France

étaient des jeunes épris de liberté, que sont-ils

donc devenus ? », s’interroge-t-il.

C’est là que réside, peut-être, l’un des plus

grands contrastes de la jeunesse algérienne. Leur

rapport au pays oscille entre amour et rejet.


Cinquante ans après la fin de la guerre,

cette jeunesse n’a pas de héros auxquels s’identifier,

pas de symboles, pas de repères et même

pas de rêves auxquels s’accrocher… A. B.


Extrait du journal Algérien d’Oran El WATAN

Des pans de l’histoire demeurent encore tabou.

« Des questions comme Melouza, Messali, une

approche critique de l’UDMA, des Ulémas restent

tabou à l’institut d’histoire. L’autocensure est

aussi de mise, d’autant que des enseignants sont

également des fonctionnaires dans des institutions

publiques », déplore l’historien. Ainsi, un

demi-siècle après l’indépendance, la Révolution

reste encore un enjeu de pouvoir

Embrigadée, elle est mise sous tutelle au profit

d’une idéologie autoritaire.


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