« …et contre l’avis de scientifiques, concevoir
qu’il existerait plusieurs races Humaines.. »
C’est fini tout ça. C’étaient les scientifiques à la Jacquard, ils sont
largués. Les races existent bel et bien, et l’ADN permet de définir l’origine
d’un individu et son appartenance à un groupe humain géographiquement
circonscrit
Nos experts en derniers
outrages pour diptères devraient remplacer « races » par « clusters »,
puisque c’est le terme qu’utilise le bioilogiste italien Cavalli-Sforza, antiraciste
de choc, pour classer les humains en neufs grands groupes géographiques
biologiquement plus proches ou plus éloignée des autres, à partir
Le professeur Luigi Luca
Cavalli Sforza, père d’un programme de recherche sur la diversité du génome
humain, distingue neuf groupes différents – donc des races (des « clusters »
donc dans son jargon a lui), et non pas des ethnies qui désignent quelque chose
de beaucoup plus limité – correpondant à autant d’aires géographiques
distinctes, à partir de l’examen de
cent vingt variations génétiques correspondant à des caractéristiques
héréditaires :
1. Papous de
Nouvelle-Guinée et Aborigènes d’Australie
2. Habitants des îles
du Pacifique (Polynésiens, Canaques de Nouvelle-Calédonie, etc)
3. Habitants du Sud-Est
Asiatique (Khmers, Thailandais, Indonésiens, Malais, Philippins…)
4. Asiatiques du Nord
(Mongols, Tibétains, Coréens, Japonais, Chinois du Nord) 5. Peuples de
l’Arctique
6. Indiens d’Amérique
(du Nord, centrale et du Sud)
7.Européens Blancs
8. Caucasoïdes
non-Européens (Nord-Africains, habitants du Proche-Orient, Iraniens, Indiens,
Pakistanais, etc)
9. Africains
En 2004, dans La Recherche (N° 377, juillet) trois
éminents biologistes, Marcus Feldman, Richard Lewontin et Marie-Claire King,
publiaient un article, paru un an plus tôt, dans la revue Nature.
« Contrairement à l’idée défendue depuis le milieu du XXe siècle, on peut
définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine. La connaissance du
génome humain permet en effet de regrouper les personnes selon les zones
géographiques d’où elles sont issues. En revanche, les usages que l’on prétend
faire en médecine d’une classification raciale sont sujets à caution. »
Depuis ce moment-là, il y a
ceux qui ne savent, ceux qui savent et font semblant de ne pas savoir (moins ça
circule, mieux c’est) et puis il y a ceux qui savent, et qui balancent quand
ils en ont l’occasion
Et puis quoi qu’on fasse,
tant que les Allemands publieront les résultats scolaires des élèves appartenant
aux différents clusters, on constatera que les extrême-orientaux sont meilleurs
que les Allemands, que les Allemands sont meilleurs que les Turcs, et que les
Turcs sont meilleurs (ou moins mauvais) que les Subsahariens.
Mais évidement, cela n’a
rien à voir avec une hiérarchisation, c’est un classement établi sur la base des
performances scolaires.