Trump a très justement condamné les violents, quels qu’ils soient. Distinguer entre de bons violents (les gauchiards) et de méchants violents (nazis et assimilés), seraient revenus à primer les agresseurs initiaux et Rump n’a pas été élu pour ça.
C’est d’abord le président des Blancs qui refusent de devenir une minorité raciale parmi d’autres, dans le pays que leurs ancêtres ont construit, et toutes les projections montrent que les WASP et assimilés tomberont au-dessous de la barre de 50 %, vers 2040-2050.
Alors, Jaja peut bien s’exciter, la question raciale sera de plus en plus le problème majeur de ce siècle, non seulement aux Etats-Unis - il y a plus de vingt ans, Clinton disait déjà que ce qui le préoccupait le plus, pour l’avenir c’était "« La question de l’identité nationale dans ce pays, avec l’immigration, l’évolution des communautés et des minorités… » -, mais également en Europe, où l’impératif territorial réveille de plus en plus de citoyennes et de citoyens.
Vous n’avez pas fini de souffrir et de fulminer, mon pauvre Jaja. Le monde où chaque être humain sera un frère pour les autres, est renvoyé à un millénaire ultérieur.
A votre grand dam, mais aussi à celui de Peter Sutherland (71 ans), conseiller directeur de Goldman Sachs, ancien commissairre européen, ancien
président du GATT, ancien secrétaire général de l’OMC, ancien président de BP,
président du Conseil d’administration de Goldman-Sachs, de 1985 à 2015, ancien
président du groupe européen de la Commission Trilatérale, conseiller pour la
gestion du patrimoine du Saint-Siège, entre cent autres juteux fauteuils.
Cet oligarque-type prêche pour la destruction de l’homogénéité interne des
nations européennes. ll l’a dit, en 2012, devant une commission de la Chambre
des Lords. Parce qu’il sait que cette homogénéité est le seul rempart contre l’internationaliste létal et l’odieuse escroquerie antiraciste, dont le seul
but est de priver les peuples de la capacité de se défendre contre le bradage
de leur pays.