@Fifi Brind_acier : Je vais prendre connaissance de cet article que je viens de lire en diagonale. Il est évident quedes erreurs de parcours ont été commises mais dans l’analyse de chaque cas on ne peut négliger de voir l’offensive constante de l’empire de d’une opposition qui lui entièrement dépendante. Comme le signale l’auteur de l’article, la mise en place de la politique sociale de Chavez dans les années 2008 et suivantes, il y est allé sans mesurer les fluctuation à venir des revenus du pétrole. Ça donné lieu à une économie dentiste, mais en même temps à une offensive encore plus intense des forces d’opposition et de l’empire pour faire franchir les prix du pétrole sur la scène internationale. En ce sens, ce ne sont pas les programmes sociaux, qui sont la bête noir de l’empire et de ses vassaux qui le plus à questionner, sinon l’analyse de ces forces d’opposition capables de modifier des orientations fondamentales en jouant sur ces facteurs de revenus. Le bon côté de cette crise fut d’éveiller à la nécessité de développer de façon intensive de nouveaux moteurs de l’économie, ce à quoi s’est attelé Maduro et ce à quoi s’attelle présentement la ABC qui vient de passer deux jours à débattre de ces questions. Il faut également rappeler cette guerre économique dont les analystes critiques oublient souvent de mentionner de façon concrètes. En somme, erreurs circonstancielles des uns et offensives agressives des autres créent une situation de crise dont on est porté à en référer le fardeau d’ensemble au gouvernement. Il s’agit d’une première réflexion et j’espère que j’aurai l’occasion d’y revenir avec plus de précisions.