Pauline pas Bismutée

Quel beau pseudo...
et quelle belle confession de foi pour ouvrir le bal des maudits.
Autre confession, autre époque dans ce billet «  »Chez les yé-yé, avoir vingt ans ce 30 août 1967« 
Par un simple calcul arithmétique, vous pourrez en déduire mon âge.

Je m’arrête sur cette phrase »Ces prises de position n’étaient d’ailleurs pas très populaires à l’époque (vous connaissez le topo, le progrès, l’économie, etc"

Mais, si elle était déjà bien présente, mais vous étiez peut-être trop jeune pour le savoir.
donc petits boulots, bien sûr payés au SMIC, avec nécessité d’économiser pour tenir jusqu’au prochain petit boulot quand au chômage.
J’ai une toute autre formation scientifique que celle que j’ai pratiquée. Mais pour cela il faut arriver au bon moment, quand le train est arrêter et par un certain opportunisme, se lancer dans une nouvelle aventure dans ce qu’on appelait à l’époque « informatique », et que l’on appelle aujourd’hui « numérique » ou « Intelligence artificielle »..
Non pas de portable, mais les prémices étaient déjà présentes.
Les femmes à cette époque, on n’en voyait pas. Travail d’homme parce qu’il fallait pouvoir travailler après les heures pour avoir du temps machine pour tester son « imagination » programmatique.
L’école, c’était en face sans chercher à trouver la meilleure pour son rejeton...

Bon, j’arrête là, mais ça vous donne une idée…

Je n’ai pas quitté mon pays, la Belgique, mais j’y ai pensé de multiples fois si je n’avais pas trouver de débouché. Mais à cet époque, pas besoin de diplôme (l’Univ ne formait pas d’informaticien), Le bouche-à-oreille faisait que l’on avait pas à écrire un CV pour se faire engager, on venait vous chercher. 

Le virus des voyages, je l’ai eu très jeune. D’ailleurs actuellement, je me les rappelle sur mon blog en cette période de vacances que je n’ai connu que pendant les périodes en dehors des grandes vacances quand tout le monde se disperse. . 

"... avons commencé à réfléchir pendant notre adolescence en s’élevant contre le nucléaire, les abus d’antibiotiques, les engrais chimiques, la souffrance animale, la consommation à tout va,« 

Bien sûr. Mais cela ne veut rien dire dans les faits, moi, je pensais faire une carrière dans la chimie nucléaire (de la fusion, je précise et pas de la fission) qui était à la mode.
Heureusement que je ne l’ai pas fait.

 »Nous n’avons donc pas tous profité d’éducation gratuite« 
Si en partie, tout de même. Une bourse était prévue déjà en mon temps même si cela ne couvrait pas tout.
Maintenant, il faut un kot. Ce que je n’ai pas connu..

 »En fait on a plutôt ramé"
Oui, mais j’aimais cela, puisque j’avais déjà l’esprit de création et d’imagination du futur que je pratique aujourd’hui dans un autre domaine : l’écriture.
Je n’appelle pas cela du travail quand on fait ce qu’on aime.

Pas évident de trouver un équilibre entre survie et intégrité,

Vous voyez que l’on peut faire toujours faire son trou, mais avec un peu de réflexion