@Ar zen
Au sujet de la lecture, elle s’est fortement développée dans la région à cette époque ce qui a permis la lecture de la bible.
On a retrouvé pas mal d’écrits de cette époque, beaucoup concerne la vie de tout les jours, du hors élite.
Le protestantisme et l’imprimerie on aussi été un moteur de la lecture en Europe. Cette lecture connue de la plupart a été un sacré moteur de l’évolution sociale et technique.
Pour vivre en autarcie au niveau d’un village l’écriture n’est pas nécessaire.
Un état c’est un minimum nécessaire pour la gestion.
Si l’état se développe ainsi que le commerce, l’écriture sort du milieu « élite ».
Si on veut qu’un maximum suivent des consignes sans encadrement, il est bon qu’un maximum savent lire ce qui a été le cas du protestantisme qui voulait se libérer d’un encadrement ou clergé.
L’écriture est un outil plus ou moins nécessaire.
Si ont veux construire un petit pont en Amazonie pas sûr que l’écriture soit nécessaire, si on en veut pas l’écriture est inutile.
Si on veut un viaduc, là l’écriture devient nécessaire.
On écrit en ce moment, on peut aussi échanger au comptoir d’un bistrot où l’écriture n’est pas nécessaire.
On maitrise l’outil écriture et on s’en sert, pas toujours nécessaire mais pour un partage d’idées on a pas trouvé mieux.
C’est la lecture/écriture qui a permis la diffusion de la bible et c’est la lecture/écriture qui nous permet en ce moment d’égratigner sa validité historique.