@microf
Il faut être réaliste, à la différence de ce pauvre Omar, qui croit qu’un
jour les imams marieront les homosexuels, et que ses coreligionnaires
laisseront leurs femmes leurs filles, leurs mères et leurs sœurs, aller se
faire draguer dans les bistrots.
Excusez-moi, je le liquide en deux mots, et je reviens aux choses
sérieuses :
Omar : - Les territoires qu’il faudra leur abandonner seront déjà massivement
occupés au moment de la partition.
« ... la cession de
pans de territoires va carrément apporter la guerre civile que personne ne
veut. »
La première fois que j’ai exprimé cette idée -
c’était vers 1995 -, j’ai ajouté "Toute la question est de savoir si ça
fera avant ou après la guerre civile", elle reste posée.
Si vous regardez les villes à forte implantation de populations musulmanes
(Roubaix, Mulhouse, La Courneuve, ) vous constatez qu’au cours des quarante ans
dernières années, la population globale n’a pratiquement pas augmenté, ce qui
veut dire que les mécréants s’en vont (white flight) et qu’ils sont remplacés
par des musulmans. Donc, il y a déjà un mouvement qui est amorcé depuis
plusieurs années.
Il y a quelques jours, le 29 juillet, « Le Monde » découvrait non seulement
que les Blancs existent, mais encore qu’ils ont des comportements collectifs.
Le titre initial de l’article était « La rénovation urbaine ? Ça veut dire
faire venir des Blancs, c’est ce qui a disparu »,
avant d’être traduit, le lendemain, en politiquement correct : « Une nouvelle politique de la mixité
à imaginer pour « déghettoïser » les cités ».
« Je pense quant á moi qu´il faut aller aux
causes de leurs déplacements et á partir de lá, essayer de trouver des
solutions. »
Je parle, pour ma part, de
millions de personnes qui sont déjà ici, et qui n’ont aucune envie de repartir
et d’autres millions de personnes aspirant à venir et n’ayant aucune intention
de repartir s’ils y parviennent, parce qu’elles ne se voient aucun avenir dans
leurs pays d’origine. Je ne suis dons pas du tout dans le même registre que
vous. Et, pour autant que je sache, les Syriens qui ont regagné leur pays,
étaient installés dans des camps à proximité de chez eux.
La problématique des vrais
réfugiés est donc très différente du contexte pour lequel je préconise la
création de territoires musulmans, de
waqf si l’on veut.