On s’en fout du ’travail à la clé’ !
La clé du malaise est le ’travail’ d’extermination des ’sans-dents’ , des ’rien’, des ’parasites’, ’assistés’, ’fraudeurs’ en puissance qui pompent les miettes que les ’méritants-qui-ont-réussi’ voudraient réserver à leurs chiens !
Comment exterminer une grand-mère sans mémoire, le chat du gamin, ... ou des chômeurs ?
Certes, pas question de les noyer : trop voyant, ça se verrait et ça ferait désordre !
Toute l’astuce, c’est de masquer la préméditation sur une période de temps suffisamment longue.
Au lieu d’euthanasier dans un temps compris entre la seconde et quelques jours, il suffit d’avoir la patience d’étaler l’empoisonnement et l’asphyxie sur plusieurs années.
Alors, en plus du ’pas vu, pas pris’, On y gagne, en plus, en même temps, un retournement de l’opinion générale : les rejets visés, progressivement déclassés, affaiblis, rendus de plus en plus dépendants, deviennent déplaisants à côtoyer, sans joie, pas marrants ...
Leur mort sera un soulagement pour autrui et pour eux-mêmes : que demande le peuple ?
En plus, cerise sur le gâteux, les ’modernes’ ont détruit le paradis pour mieux anéantir l’enfer en même temps. Pas vu, pas pris : ne reste que le paraître !
Qui se soucierait maintenant de préméditations, en bandes organisée, de crimes raffinés, systématisés, s’étalant sur des durées lancinantes ? Pfff !