@Le421
« ...que certains abrutis de commentateurs les comparent à ceux de La France Insoumise... »
Ca, je dois dire. Mais les électeurs ne s’y trompent. La prééminence des Français sur le territoire qu’ils ont reçu en héritage hérité de leurs ancêtres, c’est le Front national et personne d’autre.
C’est pour cela que je ne me suis jamais fait de souci pour son avenir. Deux Français sur trois pensent qu’ils ne sont plus chez eux comme avant. Trois Français sur quatre estiment qu’il y a trop d’étrangers en France, et ce be sont pas des Castillans, des Bavarois et des Lombards, qui sont visés.
La question raciale est l’un des problèmes majeurs de ce début de siècle, et si les peuples n’osent pas encore se débarrasser de l’arnaque antiraciste, elle vit ses dernières années. Le vivre ensemble est une chimère qui se dégonfle de jour en jour et l’ancien député européen Karim Zeribi vient encore de souligner, lors des Grandes Gueules de RMC d’hier, qu’il y a de plus en plus de classes où il n’y a que des Africains et des Arabes, confirmant par là, la réalité du white flight, déjà mis en évidence par un article du « Monde » du 29 juillet, originellement titré « La rénovation urbaine ? Ca veut dire faire venir des Blancs, c’est ce qui a disparu ».
Pour le reste, je pense que Mélenchon avait raison, qui disait le 22 janvier 2010, sur France Info :
- C’est un grand classique de l’histoire,
vous savez, à la fin, ça se réglera entre eux et nous. Si les choses ne
s’arrangent pas, si le chômage ne recule pas, si la catastrophe financière n’a
fait que commencer - ce qui est ma thèse - et que vous aurez bientôt d’immenses
secousses qui vont venir, ça se terminera entre deux visions de la société, la
vision solidariste, collective, républicaine, et l’autre vision, que vous
connaissez tous, qui est ethnique, autoritaire...
Et il perdra parce que la préférence nationale l’emportera sur l’inepte internationalisme prolétarien.