@Aristide
« Faut-il donc effacer la trace de ces personnes ? »
Et si on envoyait tout simplement se faire foutre tous ces néo-Inquisiteurs qui n’ont content d’avoir installé la tyrannie des minorités (ethniques, raciales, sexuelles, religieuses, etc.), veulent maintenant étendre le champ de leurs excommunications à l’histoire universelle.
Ils n’ont pas encore osé traiter De Gaulle de « raciste », mais ça ne va plus tarder :
Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allé les voir ?
Vous les avez regardés, avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien
que ce ne sont pas des Français. Alain Peyrefitte, C’était De Gaulle T. 1, page 52”Nous avons fondé notre colonisation, depuis les débuts, sur le
principe de l’assimilation. On a prétendu faire des nègres de bons Français. On
leur a fait réciter : Nos ancêtres les Gaulois ; ce n’était pas très malin” Ibid. page 54
Les Arabes, ce n’est
rien. Jamais on n’a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des
usines... Ce sont d’habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiants. J.-R. Tournoux, La tragédie du général.
Vous savez, cela
suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit
plus qu’eux : il y a des nègres à l’Élysée tous les jours, vous me les
faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de
nègres, ici. […] Et puis tout cela n’a aucune espèce d’intérêt !
Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d’ici deux
mois, vous entendez ? Plus une audience avant deux mois. Ce n’est pas
tellement en raison du temps que cela me prend, bien que ce soit déjà fort
ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur : on ne voit que
des nègres, tous les jours, à l’Élysée. Et puis je vous assure que c’est sans
intérêt. Jacques Foccart, Mémoires, T. 2
Comme les cons, ça osent tout, il y a bon espoir. C’est peut-être bien l’électrochoc dont le bon peuple a besoin pour renvoyer toute cette flicaillerie bénévole à coups de pompe dans le derche, dans des égouts d’où elle n’osera peut-être plus ressortir.