Commentaire de Taverne
sur « Deviens ce que tu es » (2) : l'abîme de perplexité
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@popov
« Deviens ce que tu hais » : c’est ce qui risque de nous arriver quand on se trompe sur nous-mêmes ou que l’on se laisse trop aller au conformisme.
Votre question est donc pertinente. Mais vous anticipez un peu sur mon propos. Nous n’en sommes qu’à l’interprétation de la pensée de Nietzsche. Par la suite, je soulèverai les problématiques modernes que cela pose. En effet, cessez d’être ce que l’on n’est pas est aussi une forme du « deviens ce que tu es » . En somme, « supprime ce qui n’est pas toi » et, par déduction, par épuration, « vois qui tu es vraiment ». Mais, ainsi que vous le dites aussi, soyons pragmatique : faisons de notre mieux.
Derniers commentaires
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12/09 22:53 - kalachnikov
@ Taverne Elle est simple, par delà le bien et le mal, l’opposition/contradiction/division.
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11/09 16:48 - L’enfoiré
Je suis occupé à lire le livre « La conjuration des imbéciles » de John Kennedy Toole. La (...)
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11/09 16:38 - Taverne
@popov « Deviens ce que tu hais » : c’est ce qui risque de nous arriver quand on se (...)
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11/09 16:21 - Taverne
@Sozenz Vous écrivez : « L’acceptation et la maîtrise de notre destinée nous créent (...)
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11/09 16:11 - Taverne
@L’enfoiré « Pour exister, il faut être à la mode ». Le « deviens ce que tu es » nous (...)
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11/09 16:11 - popov
@Taverne Difficile de devenir ce que l’on est sans savoir ce que l’on est. (...)
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