Tous les jours des gens se font détrousser mais comme ils ne sont pas juifs, ils ne mobilisent pas les réseaux bien rodés et prompts à exploiter n’importe quel pet de travers pour peu qu’il ait agressé l’odorat subtil d’un Juif.
Comme en général on mettra le délit sur le compte des vieux copains de Moderatus, à savoir des gens d’origine maghrébine donc arabes par définition ( même s’ils sont berbères ou kabyles ou encore tchadiens etc...) donc Musulmans, ce qui les rend doublement coupables même avant que l‘on ait pu déterminer qui sont les véritables coupables si on les trouve. 

Dans l’hypothèse où on ne les trouve pas, notre censeur trouvera la justification de sa profonde défiance envers les forces de l’état coupables au mieux de laxisme mais plus sûrement de complicité active avec l’islamisme.

Tout ça me fait penser à la fameuse agression antisémite dans le RER inventée par une mythomane et qui avait vu se manifester dans une unanimité grandiloquente toute la classe politique avant que la supercherie ne se fasse jour les ridiculisant tous ou encore à ce rabbin mythomane de la région parisienne qui s’inventait des agressions antisémites pour se pousser du col.

Déjà le seul caractère avéré de cette agression, c’est qu’elle est d’abord crapuleuse et comme cette famille à ma connaissance n’habitait pas un château, il fallait être particulièrement débile pour croire qu’elle vivait sur un tapis d’or.

Moderatus lui ne fait pas dans la nuance, il affirme et se pose en défenseur des Juifs que des« malveillants » ont envie de voir quitter la France pour aller renforcer Israël à qui donc profite in fine le crime.

Ce qui devrait interroger notre vengeur qui fonce, flamberge au vent, au service de la veuve et de l’orphelin à la seule condition qu’il ne soit pas pollué par la mauvaise religion, c’est cette hyper-réactivité des organisations juives pour exploiter ces malheureux événements au service de leurs intérêts et de ceux à peine nommés d’Israël.

Ce sont toutes ces manigances qui mettent la république en danger et non l’un ou l’autre fait divers aussi dramatique fussent-ils et qui frappent indistinctement toutes les communautés.