Le gouvernement birman fait ce que notre gouvernement aurait du faire depuis longtemps pour contenir la violence et les déprédations des musulmans .

@antiireac
Je ne pense pas qu’on puisse dire ça : l’ennemi, c’est l’islam, une idéologie génocidaire très comparable au nazisme, et ce ne sont pas les populations crétinisées soumises à des propagandes infectes et qui les tirent à hue et à dia. Il y a quarante ans, avant les paraboles d’Al Jazeera et la mise en place par les Frères musulmans de l’UOIF ou du site Oumma.com d’une stratégie délibérément hostile à la République, les musulmans en France n’étaient pas vraiment un problème.
S’il y a un problème, c’est celui de la collaboration des pouvoirs publics, particulièrement dans les banlieues, avec l’islam radical, et une fausse conception, partout dans les media, de la tolérance. Il y a des choses qui ne peuvent pas être tolérées, et ce n’est pas en dédouanant le musulman de base de toute responsabilité, en laissant perdurer cette croyance idiote que l’islamisme ne serait pas l’islam qu’on arrivera à quelque chose dans un combat idéologique de plus en plus nécessaire et urgent.
La communauté musulmane offre actuellement en France le spectacle odieux de l’arriération la plus dégoûtante et il ne faut pas hésiter à le dire, comme à dénoncer, dans les banlieues, un antisémitisme à prétention génocidaire dont on s’est jusque là efforcé de masquer les exactions, comme si en cassant le thermomètre on allait pouvoir arrêter la fièvre. La condition des femmes musulmanes empaquetées dans leurs sacs à patates, exclues des bistrots et même de la voie publique dans certains quartiers, c’est totalement inacceptable ; il faut le dire et le répéter, jusqu’à ce que les premieres intéressées finissent par avoir honte d’exhiber une pareille abjection.
Tous les hommes ne se gouvernent pas, comme dit Pascal, « par une raison pure et sublime ». La plupart suivent les modes et rejoignent le courant dominant, par peur de n’être pas comme tout le monde. C’est là-dessus qu’il faut miser dans le combat contre les idéologies les plus pourries, et ne pas tolérer, comme par exemple à Barcelone, que des mères ou des soeurs de terroristes, voilées comme on l’était à Mossoul, vrais étendards de l’islam le plus criminel, puissent venir raconter devant des caméras de la télévision qu’elles n’ont rien à voir avec le terrorisme et qu’elles en seraient presque les premières victimes. De telles exhibitions ont quelque chose de profondément obscène.