Le capitalisme est le fait d’accumuler des biens dont on n’a pas les moyens en transférant l’acquisition de sa valeur dans le temps, via l’argent-dette. Ce qui paiera le coût de l’argent s’appelle le travail.
Le capitalisme, qui ne profite qu’aux secteurs émetteurs de monnaie ou proches de ceux-çi, est donc par essence un parasitisme.
Il ne peut donc faire qu’exploser les inégalités, l’esclavage, et même la prédation de ressources ou richesses inexistantes par certains mécanismes financiers (100 000 milliards de dettes comparé aux 75 000 milliards de PIB mondial en 2014-ou si vous préférez, plus de dix papiers monnaie attendent d’exploiter le travail).
Il est de mon point de vue inutile de se battre contre le capitalisme, de lutter contre les inégalités, ou pire de s’enticher du communisme, ou de s’indigner (rôle confortable de la pleureuse), car cela a déjà été fait sur des milliers de kilomètres de prose, sans succès.
La seule chose à faire du capitalisme est de le réduire à ce pourquoi il est dédié, à savoir faire appel à un capital monétaire pour former un capital physique. et, pour cela, de le contourner en dédiant une monnaie spécifique à la seule création de valeur, le travail (cf mes deux derniers articles).
Dès lors, le capitalisme financier sera pris dans ses propres contradictions et ne pourra plus se justifier en exploitant le travail : ses abus et excès en tout genres ne seront plus que de sa propre responsabilité.