Commentaire de Cateaufoncel
sur Que vaut l'esclave du capitalisme ?
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"c’était un patriotisme primitif auquel on pouvait faire appel chaque
fois qu’il était nécessaire de leur faire accepter plus d’heures de
travail ou des rations réduites ».
Voilà à quoi nous sommes réduits aujourd’hui."
A cela près qu’il y a les 35 heures, les quatre semaines de congés payés, et que le gaspillage, par la consommation domestique (hors restauration collective donc), emporte 3.3 millions de tonnes de nourriture chaque année.
Si l’on ajoute à cela que (presque) plus personne ne croit à l’émancipation par la propriété collectives des moyens de production, aux lendemains qui chantent, à la liberté et au bonheur promis par des théoriciens pleins de poussière et toiles d’araignée, la révolution communiste n’est pas pour demain.
Derniers commentaires
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19/09 14:32 - hervepasgrave
@hervepasgrave Bonjour , Calleb ,je vois que sous de belles apparences ,le commerce est vital (...)
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18/09 15:17 - hervepasgrave
Bonjour, J’avais décidé de la fermer aujourd’hui .Me taire pour faire simple ;car (...)
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17/09 12:33 - antiireac
@Caleb Irri Contrairement à vos affirmations ces pays ont été bien dirigé par le parti (...)
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17/09 11:09 - baleti
@Cateaufoncel Si l’on ajoute à cela que (presque) plus personne ne croit à (...)
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17/09 10:56 - baleti
@Caleb Irri Le capitalisme ne peu se combattre, qu’avec de l’argent et des homme (...)
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16/09 23:40 - Caleb Irri
@pipiou pardonnez-moi mais ne pas travailler, ne pas consommer, cela n’existe pas. Car (...)
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