Encore la mixité sociale, par peur d’écrire la mixité ethnique, et encore un « vivre ensemble » à propos duquel j’ai deux questions jusqu’à présent sans réponse.
1re question :
Quelles raisons aurais-je de
vouloir vivre ensemble avec des gens qui ne mangent pas comme moi, qui ne
boivent pas comme moi, qui ne jouent pas comme moi, qui ne traitent pas leur
femme et leur(s) fille(s) comme moi, qui ne veulent pas être enterrés dans la
même terre que moi et qui ont des codes sociaux totalement différents des miens, en même
temps que la phobie des chiens ?
Il y a près de cinquante ans, le président de la République, c’était alors
Georges Pompidou, avait encore le droit de dire : « …lorsque deux communautés se trouvent vivre mélangées,
avec des habitudes, des convictions, des modes de vie absolument différents, il
se crée des conflits. Il est déjà très difficile de vivre en paix avec ses
voisins. A plus forte raison lorsque ces voisins ont des habitudes
absolument différentes des vôtres ».
Aujourd’hui, il n’oserait plus - les argousins de la pensée, de L’Obs au Point, en passant
par Le Monde et Libération lui tomberaient dessus à bras
raccourcis -, mais le constat n’en garde pas moins toute son acuité.
2e question :
Où est-on allé chercher que les musulmans aspireraient à vivre ensemble
avec des gens qui marient leurs fils entre eux, qui laissent leur femme et
leur(s) fille(s) déshonorer leur famille par des comportements dépravés, qui
mettent leur chien dans leur lit, et qui consomment des nourritures infâmes ?