• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Electric

sur Dieu est amour ou pas du tout, car l'Homme a créé Dieu à son image (suite et fin)


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Electric Electric 19 septembre 2017 13:32

La Bible et le Nouveau Testament sont des allégories du voyage de l’âme dans la matière dans ce coin du système solaire.

Effectivement, le Dieu de la Bible est un archonte, il fait partie de la sphère réflectrice de l’Homme, de son univers dialectique du bien et du mal, de la vie et de la mort dans la matière.

C’est le dispositif électromagnétique qui organise le vivant dans ce coin de l’univers.

Mais il n’est pas le Dieu très haut.

L’Homme est doté d’un atome primordial du cœur, la rose des philosophes, qui peut être réveillée de son sommeil et met l’impétrant en contact avec la coupe du Graal (dont il ne convoitera pas les fruits).

Cela met en jeu le métabolisme, le système hormonal, enzymatique, nerveux, sanguin.

La nature dialectique de l’Homme ne peut lui permettre une libération de sa destinée mortelle.

La génération, la reproduction sexuée est le mal qui nous frappe, avec son cortège d’héritage dialectique (épigénétique, traumas des ascendants hérités, traumas de la vie en cours, univers mental, émotionnel, héritage jusqu’à la première cellule, le premier brin d’ADN ).

Cultiver la Rose du Cœur, c’est allumer l’atome primordial qui permet de trouver la voie alternative à notre univers dialectique.

Les Evangiles, en parabole, ne disent pas autre chose.

C’est fort bien décrit dans l’Evangile gnostique de la Pistis Sophia.

C’est évidemment aussi la bête noire de l’Eglise catholique romaine.

Cette initiation universelle se trouve dans le Tao Te king, les écrits des soufis persans comme ceux de Rûmî,, les écrits manichéens, les manuscrits de Nag hammadi,, la gnose cathare. et avant cela égyptienne.

Je puis témoigner que ce phénomène est réel. Après avoir vécu une Kundalini non recherchée, et avoir souffert le martyre jusqu’au sacrifice du Moi, la Rose est éclose.

Une radiation magnétique particulière et inconnue qui transforme l’impétrant en serviteur zélé, et qui n’est pas de ce monde.

Sa magnificence, et sa puissance n’a pas d’équivalent dans notre monde dialectique manifesté.

Toute croyance disparait, la Foi nourrissant un nouveau savoir, ce n’est donc pas une expérience mystique, mais physique.

Cela met en jeu tout le métabolisme humain qui s’en trouve bouleversé, et cela dure des années. Le système hormonal (ou chakras) a été sollicité à l’extrême pratiquement jusqu’à la rupture complète.

Sur un plan médical, mon canal médullaire a littéralement brulé (IRM), pendant qu’une bosse émergeait sous l’atla major et que mille tourments m’accablaient

Il n’y a pas de retour possible.

Aux côtés de l’homme dialectique émerge un AUTRE, une nouvelle radiation qui reformate ce qui reste de la personnalité.

Archontes : ils ne sont pas mauvais en tant que tel, mais simplement trop éloignés de la source première puisqu’ils orchestrent notre univers dialectique.

Ils sont l’univers dialectique.

Ils peuvent être compris comme une vibration, des fréquences, de l’énergie.

C’est un moment énergétique très violent, et une confrontation avec le « gardien du seuil ».

Le point d’entrée de ce monde merveilleux par delà la mort est la figure symbolique de Marie Madeleine.

Je n’est pas choisi consciemment ce chemin, c’est donc un parcours de vie qui s’impose et dont on ne connait les tenants et les aboutissants que quand le processus est terminé.

La leçon d’humilité est totale, l’humiliation du Moi, du Soi totale.

A l’image de Job, il vous prend absolument tout ce que vous possédiez ou pensiez être dans l’univers dialectique.

Je sais avoir été protégé par quelque chose pendant cette période qui a duré 7 ans.

A l’image de Jean, ma tête a été décapitée, et comme lui, je témoigne du miracle réel et métabolique.

Par la force des choses, je suis gnostique, mais je n’ai pas choisi.

Je sais maintenant appartenir à la confrérie de tous ceux qui m’on précédé, à l’image de Goethe, dont les poésies qui m’étaient avant cela totalement étrangères, sont désormais comme les pétales de la Rose.

Bref, j’ai trouvé ma patrie, je rentre à la maison, et elle n’est pas de ce monde.

Je l’affirme et en témoigne.

Plus prosaïquement, cela consiste à vivre sur un autre plan « vibratoire » où Rien se vit dans Tout.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès