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Commentaire de Christian Labrune

sur Non, Aung San Suu Kyi n'est pas Mère Teresa ! Et ce n'est pas un scoop !


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Christian Labrune Christian Labrune 21 septembre 2017 16:11

ADDENDUM
Quelques exraits du précieux Petit livre vert de l’Ayatollah Khomeini dont chacun, j’en suis sûr, saura faire ses choux gras.

LES PRINCIPES DU BON GOUVERNEMENT

 C’est là que réside la différence radicale entre un gouvernement islamique et les différents gouvernements monarchiques ou républicains où ce sont les élus, les représentants du peuple ou de l’État qui proposent et votent les lois, alors qu’en Islam la seule Autorité compétente est le Tout-Puissant et sa volonté divine. Le pouvoir législatif est exclusivement détenu par le Saint Prophète de l’Islam et personne hormis Lui ne peut promouvoir une loi ; toute loi qui n’émane pas de Lui est à rejeter. Dans un gouvernement islamique qui se respecte, le pouvoir législatif (Parlement), qui est une des trois composantes de tout système constitutionnel avec l’exécutif et la jurisprudence, est remplacé par un « Conseil religieux de planification » qui transmet à chaque ministère les lois islamiques le concernant, lui indique son programme conformément à la religion et établit à la base de l’ensemble de ces programmes la politique générale de tout le pays.


DE LA GUERRE SAINTE

La guerre sainte signifie la conquête des territoires non musulmans. Il se peut qu’elle soit déclarée après la formation d’un gouvernement islamique digne de ce nom, sous la direction de l’Imam ou sur son ordre. Il sera alors du devoir de tout homme majeur et valide de se porter volontaire dans cette guerre de conquête dont le but final est de faire régner la loi coranique d’un bout à l’autre de la Terre. Mais que le monde entier sache bien que la suprématie universelle de l’Islam diffère considérablement de l’hégémonie des autres conquérants. Il faut donc que le gouvernement islamique soit d’abord créé sous l’autorité de l’Imam afin qu’il puisse entreprendre cette conquête qui se distinguera des autres guerres de conquête injustes et tyranniques faisant abstraction des principes moraux et civilisateurs de l’Islam.


DE LA FACON D’URINER ET DE DEFEQUER

1. Il est nécessaire à chacun, au moment d’uriner ou de déféquer, de cacher son sexe à tous ceux qui sont pubères, même à sa sœur ou à sa mère, aussi bien qu’à un faible d’esprit et aux enfants en âge de comprendre. Mais le mari et la femme ne sont pas tenus de le faire.

2. Il n’est pas indispensable de cacher son sexe avec quelque chose de particulier, il suffit de le faire avec sa main.

3. Au moment de déféquer ou d’uriner, il faut s’accroupir de façon à ne pas faire face ou à ne pas tourner le dos à La Mecque.

4. Il ne suffît pas de dévier son sexe, tout en faisant face ou en tournant le dos à La Mecque ; et il ne faut pas avoir le sexe exposé face à La Mecque ou en direction opposée à La Mecque.

5. Il est interdit d’uriner ou de déféquer dans quatre endroits :

 les impasses, sauf avec l’autorisation des riverains ;

 la propriété de quelqu’un qui n’a pas accordé cette permission ;

 les lieux du culte, comme certaines medersas ;

 les tombes des fidèles, sauf si on veut les offenser.

6. Dans trois cas, il faut absolument purifier l’anus avec de l’eau :

 quand l’excrément a été évacué avec d’autres impuretés, du sang par exemple ;

 quand une chose impure a effleuré l’anus ;

 quand l’orifice anal a été souillé plus que de coutume.

En dehors de ces trois cas, on peut ou laver l’anus avec de l’eau ou l’essuyer avec une étoffe ou un caillou.

7. L’orifice urinaire ne se purifie qu’avec de l’eau, et il suffit de le laver une seule fois après avoir uriné. Mais ceux chez qui l’urine sort par un autre orifice feront mieux de laver deux fois cet orifice. Cela doit être respecté par les femmes aussi.

8. Il n’est pas nécessaire d’essuyer l’anus avec trois cailloux ou trois morceaux d’étoffe, une seule pierre ou un seul morceau d’étoffe suffit ; mais si on l’essuie au moyen d’un os, ou de choses sacrées, par exemple un papier portant le nom de Dieu, on ne peut pas faire ses prières dans cet état.

9. Il est préférable pour uriner ou déféquer de s’accroupir dans un endroit isolé ; il est également préférable d’entrer dans ce lieu du pied gauche, et d’en sortir du pied droit ; il est recommandé de se couvrir la tête durant l’évacuation, et de faire supporter le poids du corps par le pied gauche.

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J’abrège : mon objectif était seulement d’informer, et je ne voudrais pas qu’on puisse croire qu’il y ait eu dans mon intention quelque chose qui puisse relever du prosélytisme.


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