« La France est un choix, une volonté de vivre ensemble :: : »,
Voilà, je crois, la personne qui va, enfin, pouvoir répondre à deux questions que je pose, en vain, depuis des mois :
1re question :
Quelles raisons aurais-je de vouloir vivre ensemble avec des gens qui ne
mangent pas comme moi, qui ne boivent pas comme moi, qui ne jouent pas comme
moi, qui ne traitent pas leur femme et leur(s) fille(s) comme moi, qui ne
veulent pas être enterrés dans la même terre que moi et qui ont des codes
sociaux totalement différents des miens, en même temps que la phobie des
chiens ?
Il y a près de cinquante ans, le président de la République, c’était alors
Georges Pompidou, avait encore le droit de dire : « …lorsque deux communautés se trouvent vivre mélangées,
avec des habitudes, des convictions, des modes de vie absolument différents, il
se crée des conflits. Il est déjà très difficile de vivre en paix avec ses
voisins. A plus forte raison lorsque ces voisins ont des habitudes
absolument différentes des vôtres ».
Aujourd’hui, il n’oserait plus - les
argousins de la pensée, de L’Obs au Point, en passant par Le Monde et Libération lui tomberaient dessus à bras raccourcis -, mais le
constat n’en garde pas moins toute son acuité.
2e question :
Où est-on allé chercher que les musulmans
aspireraient à vivre ensemble
avec des gens qui marient leurs fils entre eux, qui laissent leur femme et
leur(s) fille(s) déshonorer leur famille par des comportements dépravés, qui,
chaque année, investissent des milliards dans la Française des Jeux, qui mettent leur chien dans leur lit, et qui absorbent
des nourritures infectes ?
"...une entité
politique capable de créer des Français, de faire de n’importe quel
homme un Français.«
Abstraction faite, bien sûr, de ceux qui, depuis quelques décennies déjà, se rassemblent en communautés ethnico-religieuses, pour vivre »comme là-bas".