Ayant avec mes adepte une vie humble dans un temple œcuménique non inféodé a une grande église, nous ne survivons que de financement d’état et de dons adressés. La subvention d’association caritative détermine les limite de notre action sociale, et ne peut pas être utilisé pour payer les adeptes, et même si... Certainement pas assez pour payer un loyer.
Nous n’avons pas fait vœux de pauvreté mais de modestie. Nous garantissons a tout les nôtres un toit et deux repas. Et nous le faisons avec un réseau de personnes éligible a la Prime d’activité. Ce qui veux dire qu’il y a toujours un petit tiers des adeptes qui sont esclaves, mais alternativement. Et ce n’est pas un drame s’il se font virer ( sauf celui qui se fait le plus virer plusieurs années de suite...)
# Nous serions bien plus efficace si nous étions concentrés sur nos œuvres au lieu de bagoter entre elle et des emplois fictif « Par-ce-que tel est la loi », qu’il faut « justifier son allocation par un travail salarié » Un revenu de base qui permette de payer loyer et taxes, Que les « droit et devoirs d’argent s’annulent entre eux », c’est tout ce que nous demandons.
Que l’état renonce a exploiter les pauvre, tous, sans discrimination, ce serais inattendu mais très beau, sans doute.
# Nous serions plus efficace également si l’état nous payais tout simplement, bordel de radins, pour le travail social énorme que nous accomplissons en encadrement des radicalisé et prévention des suicides.
La reconnaissance que notre travail spirituel, et pas seulement caritatif, est nécessaire et digne d’être rémunéré.... Le droit de payer le loyer des adeptes avec la subvention. Ou mieux, des salaires.
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