@Christian Labrune
Je comprends. Pour ce qu’on faisait, la problématique était celle du calcul en 25 images par seconde. Ça conduisait à une approche différente. Il n’était pas envisageable d’utiliser des langages évolués, pas même le C. Hors de question d’utiliser des matrices (et ces 12 multiplications) pour faire des rotations dans l’espace, ou de calculer en virgule flottante avec les librairies usuelles... et pourtant nous animions en temps réel des objets 3D avec un proc à 7,16 Mhz ^^ Seul l’assembleur permettait de faire des optimisations très subtiles.
Une astuce, trouvée dans un bouquin de DEUG de math quand j’étais ado : les coordonnées polaires, qui permettaient de calculer une rotation avec... deux additions. Peu me rendait heureux
La contrainte du manque de puissance était très formatrice. Je me souviens, lors de mon premier job en entreprise... Je développais en VB. C’était du lourd. J’avais détourné le moteur d’affichage pour gérer les événement moi-même via l’API bas niveau de Windows. Ça ouvrait des possibilités inédites.