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Commentaire de Bella Ciao

sur Les paradoxes du glyphosate


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Bella Ciao 2 octobre 2017 10:48
@Self con troll

(honnêtement) Je n’ai pas de réponse à votre question. Mais elle évoque aussi la « révolution culturelle » (révocul dans la Chine pop), voire Pol Pot, ce qui ne m’engage pas à abonder...

Les travaux d’intérêt collectif ou d’intérêt général peuvent effectivement passer par du sarclage au champ comme par du nettoyage urbain ou littoral...

Je connais des exploitations en bio qui trouvent en contrats saisonniers, en stages de formation professionnelle, en service civique pour peu qu’ils soient en assos 1901 ou en GIEE, en groupements d’employeurs appuyés sur une CUMA, des solutions manuelles (sarclage) pour peu qu’ils soient bien sur une filière commerciale valorisant le surcoût de production (par exemple pomme-de-terre, maraîchage...) ou encore un circuit court (genre AMAP) avec des « avances » aux frais de culture par les achats contractuels...

Mais le problème des surfaces de culture intermédiaire, de CIPAM (piégeage nitrates), d’engrais vert, etc reste posé au moment d’installer une culture de production : soit labour (classique), soit conservation des sols et, dans ce cas, qu’il y ait eu pâture ou non, il faut dévitaliser cette culture et... c’est chimique. Donc trouver dans la chimie la solution la moins pénalisante écologiquement parlant, la moins potentiellement « dangereuse ». 

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