Mais non, a affirmé le Premier sinistre (peu importe son nom, encore fort méconnu par les téléspectateurs ...), les marcheurs n’en sont plus à la théorie du ruissellement ! :
ils veulent seulement amadouer les maîtres chanteurs qui menacent de déserter la solidarité nationale et la France, et trahir la confiance réclamée à leurs salariés pour aller investir, ou vendre ailleurs qu’au pays, les biens et notoriétés qu’ils ont amassés ici !
Le gouvernement fait donc des cadeaux à celles et ceux qui menacent cyniquement de rejoindre leurs copains les fuyards, déserteurs et traîtres,
(sans oser leur imposer quoi que ce soit en retour : sans quoi ce ne serait pas cadeau ),
en nous demandant de croiser les doigts jusqu’au prochain non-bilan (quand un Premier ministre devient nouveau Président de la République qui n’a pas à répondre d’un bilan qui n’a rien à voir avec ses nouvelles promesses ...) !
On notera seulement l’incohérence d’appliquer deux principes diamétralement opposés pour réagir contre deux déviances factuellement fort néfastes à notre pays :
- contre le monde du mal ou terrorisme (envoi de l’artillerie lourde et guerres arbitrairement décidées ; état d’urgence permanent ; mise en suspicion du petit peuple d’abord ; renforcement de la surveillance et du flicage des fraudeurs en puissance aux minima sociaux ...)
- contre le chantage à la désertion et à la traîtrise, pratiqué par les plus puissants et les plus choyés : cadeaux et cajoleries idolâtres !!