@Bella Ciao
*les paysans. Non seulement sont loin d’être tous sur les mêmes modes de production*
*fin des années 40, années 50 et 60... on a protégé les cultures ... à l’aide de la désinfection des semences aux organo-mercuriels (ou organomercuriques) associés à l’anthraquinone*
*on combattait certains parasites en injectant dans le sol du sulfure de carbone*
*l’arsenite de soude (donc de l’arsenic) ... contre l’esca et les maladies du bois de la vigne favorisées par les plaies de taille*
*En élevage, .. de médicaments prescrits ... sont devenus des facteurs de production*
*l’ado que j’ai été années cinquante, a mangé du pain à sa faim grâce à ces traitements*
Nous n’avons clairement pas la même vision sur l’agriculture, tout ces produits que vous citez ne sont pas utilisé par mon père, on ne les utilisait pas avant les années 60 et on pourrait sans passer aujourd’hui.
Vous pensez comme beaucoup trop de gens que ces traitements sont obligatoire pour lutter contre la famine. Hors ce n’est pas le cas, dans ma région j’observe que les surfaces agricole diminue aux profits des produits importés, nous avons donc clairement la capacité de produire plus, c’est bien le coût qui est le premier facteur de nos niveaux de production.
Si on réduit nos productions aux profits des importations moins chère, pourquoi ne pas changer la donne aux profits de la qualités ?
Je peux aller dans n’importe qu’elle boutique, même à prix d’or je ne trouve pas les produits que mon père est capable de faire dans son potager, pire les légumes ne sont tout simplement pas les même.
Dans nos grandes surfaces, nos tomates sont des monstres, elles ont poussé en culture hydroponique, elles sont hybride et souvent stérile, pourquoi décrier les OGM quand on voit ce que l’industrie a produit en moins de 50 ans.
On a complètement perdu les notions du bon sens et moi je ne sais pas en qu’elle saison pousse les fruits et légume de ma région.
@Self con troll
*aussi limpide soit votre discours, il faut se demander pourquoi il ne passe pas.*
Comme d’habitude et moi le premier, c’est une question de coût, mais vue le niveau du prix de certain produit, on a clairement moyen de faire mieux pour aussi chère.
Malheureusement notre industrie nous a pondu les produits « BIO », qui est une mauvaise réponse à un vrai problème, le BIO ne se préoccupe pas des semences, ni du gout des produits, c’est juste un cahier des charges à respecter sur les techniques de production et au final les contrôles sont rare.
Mon père ne sait pas s’il est BIO et il s’en fou, il s’occupe de ses plantes si elle en ont besoin, il aura quand même une grande préférence pour des produits dont il peut identifier la composition, comme le purin d’ortie ou bien la bouillie bordelaise et il sait reconnaître la fatalité quand ça ne fonctionne pas.