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Commentaire de doctorix

sur Paradoxes immunitaires : Quand l'évolution fait d'un avantage un handicap


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doctorix, complotiste doctorix 12 octobre 2017 18:41

 @l’auteure

Bonsoir, chère consoeur.
Vous l’expliquez très bien :
ce dernier ’système HLA) expose en permanence le contenu peptidique de la cellule pour qu’il soit reconnu par les cellules immunitaires comme appartenant au « soi » (à soi-même) ou au « non-soi » (à un corps étranger comme une bactérie, un virus). Le système immunitaire se mobilisera dans ce dernier cas pour attaquer ces cellules étrangères et potentiellement pathogènes.

Mais si par malheur ou plutôt par bêtise on introduit dans l’organisme une substance apparentée à l’un des constituants de notre corps, la défense s’organisera non seulement contre cette substance, mais contre le constituant normal concerné.
C’est ce qu’on a fait avec le squalène, un adjuvant semblable par exemple à nos cartilages.

Le squalène sous forme injecté (adjuvant de vaccin) peut générer de graves allergies et des problèmes gastro-intestinaux (on a beaucoup parlé des cas de soldats américains vaccinés contre l’anthrax pendant la guerre du Golfe : il y a eu des cas de décès et la raison identifiée est le squalène injecté). 
Gary MATSUMOTO rapporte des interviews saisissants de militaires atteints du syndrome de fatigue chronique : chez chacun d’eux on a retrouvé des anticorps anti-squalène. 
Le squalène pénètre dans les organes mais aussi dans le système nerveux et le cerveau. Le système immunitaire le considère comme un ennemi à attaquer et à éliminer.

C’est encore une technique d’apprenti-sorcier dont la pharmacologie n’est pas avare.

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