@socrate
Bonsoir, et je comprends tout à fait que les conditions de travail d’une catégorie de journalistes envoyés sur le terrain pour enquêter sur des affaires crapuleuses, - Ile de Beauté ou Département un peu chaud - présentent de réels dangers pour l’intégrité physique du professionnel que vous êtes ainsi que sa famille. Dans ce cas-là je comprends et je compatis.
Mais il me semble qu’entre un journaliste de terrain, ou un correspondant de guerre, ou un enquêteur d’affaires criminelles - comme vous, il n’y a aucune mesure avec le confort des éditorialistes et journalistes des grands quotidiens parisiens qui font la pluie et le beau temps de l’opinion dans le pays. Quant à dire qu’ils courent des risques, ce ne sont que les risques de carriéristes, quant à leurs salaires ou émoluments, qu’ont-ils de comparables avec ceux qui vont au charbon, comme vous et beaucoup de vos collègues ? Lorsque je m’adresse à madame @ Aude Lancelin, c’est pour lui signifier que justement, le rôle de communicante qu’elle occupe a surpassé largement celui de journaliste et qu’elle se rattrape aujourd’hui me semble salutaire, mais j’aurais aimé, puisqu’elle vient sur un site exposer ses doutes, qu’elle débatte avec nous. Ce qu’elle ne fait pas, pour moultes raisons qui la regardent.
Oui, je m’arroge le droit de critiquer cet article ! C’est, je pense sainement démocratique car je n’ai aucunement l’intention pour quoi que ce soit de m’associer au léchage de botte habituel envers les people ou à ce qui leur ressemble. Et a voir bon nombre d’interventions sur ce fil, concernant cet article, sur le simple fait qu’il émane d’une journaliste d’un grand quotidien, je ne m’étonne pas du tout que certains dans votre métier, aient un tel pouvoir sur la moutonnerie ambiante.
J’ai l’impression que dans votre caste, vous n’aimez pas du tout la critique, alors l’encensoir ? Ne comptez pas sur moi.
Bien à vous.