Nous avons affaire à un comportement de Dhimmi, celui d’un pleutre qui non seulement aura perdu son honneur mais encore sera l’objet d’un mépris général tant il est vrai que « la paix sociale » ne s’achète pas.
Comme l’observe justement un commentateur : "Je ne vois vraiment pas pourquoi il faudrait renoncer à des
traditions gastronomiques indigènes de craintes de froisser une
population allochtone. C’est aux immigrés à s’intégrer dans un
milieu culturel indigène, ou tout au moins à faire preuve de tolérance à
son égard, mais ce n’est pas aux indigènes à s’adapter aux allochtones.Personne
n’oblige les musulmans à manger de la choucroute, mais je ne vois pas
pourquoi il faudrait bannir ce plat de l’espace public ou d’en effacer
toute trace sur les affiches placardées dans nos rues ...La
décision de ce maire relève de l’autocensure, au même titre qu’un
journaliste qui s’interdirait de publier un article de crainte de
froisser une catégorie de lecteurs. Ce maire est un couard !"
Quant au reste, on lira avec intérêt ci-après, paru dans Causeur, un papier à propos d’un très bon
ouvrage de Pierre-André Taguieff, L’islamisme
et nous : penser l’ennemi imprévu, CNRS éditions, 2017.
https://www.causeur.fr/islamisme-islam-pierre-andre-taguieff-147257?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=cd7070844d-Newsletter&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-cd7070844d-57275213