@jalin
Einstein lui même a développé sa théorie avec l’aide d’un mathématicien français, Elie Cartan
Pour expliquer le résultat fondamental de l’expérience de Michelson et Morley qui établissait de manière indiscutable que la vitesse de la lumière arrivant à l’avant d’un mobile était très exactement la même que la vitesse arrivant à l’arrière du même mobile (se déplaçant avec la Terre à grande vitesse donc), Einstein a plagié intégralement pour sa « relativité restreinte » de 1905, les travaux mathématiques de Henri Poincaré qui s’était intéressé à cet apparent paradoxe à la demande du physicien hollandais Lorentz.
Le monde anglo-saxon nie encore aujourd’hui ce fait incontestable parce que Einstein leur a fait l’honneur de se réfugier aux USA.
Si Poincaré avait été Étatsunien et Einstein resté en Suisse, ce serait un fait connu et reconnu de tous.
Pour développer la théorie de la relativité générale, il a longtemps pataugé mathématiquement et a enfin produit une interprétation en recevant une formation sur les espaces non-euclidiens (et donc non-newtonien) par les mathématiciens, dont celui de Riemann datant de 1854 (!)
Arrivé à Princeton, il n’a plus rien produit de neuf. Son « génie » est très usurpé comparé à celui des « pères » de la physique quantique parmi lesquels on trouve un Français timide et modeste : Louis de Broglie, dont on ne parle qu’incidemment, alors qu’en prouvant que l’on pouvait associer une fonction d’onde à toute particule y compris proton et neutron, il avait sans doute les clés de la théorie unitaire qu’on recherche vainement depuis un siècle en y intégrant l’énergie quantique du vide et la vitesse variable de la lumière, diminuée en proportion de l’énergie quantique du vide quand elle est traversée par exemple par une onde gravitationnelle.
"On peut être ingénieur sans avoir un haut niveau en maths
qui servent assez peu à la plupart des ingénieurs qui utilisent des
logiciels désormais ou s’adressent à des spécialistes quand ils en ont
besoin.«
Ceci est parfaitement exact, l’important est la créativité, voire la fantaisie, qualité intellectuelle qu’on rencontre plus souvent chez les »littéraires« que chez les matheux »besogneux" !