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Commentaire de eric

sur BCE, FMI, fonds vautours : rendez le fric aux Grecs !


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eric 26 octobre 2017 20:21

Tsipras est un parti un peu comme les fifi en France, idéologiquement en surface encore plus extrême gauche, mais contrairement aux FIFI et de mémoire, alliés avec des fachos pour parvenir au pouvoir.

Comme les fiffi, c’est essentiellement un parti de bénéficiaires de la dépense publique au sens large.

Avec des positions théoriques encore plus dures que les altercoco français, ils sont quand même passé par les fourches caudines de leurs créanciers :

Pourquoi ?

Parce qu’il veulent manger. Bine sur les grecs qui n’émargent pas à la dépense d’État , eu soufrent vraiment des excès d’appétit de leurs compatriotes fonctionnaires et autres subventionnés. De mémoire, 2 à 4 fois plus par habitant qu’en Autriche. Eux, auraient à la limite le choix.

Pas les prébendiers. Ils ont du mal à présurer plus encore un peuple déjà pas bien riche et très réfractaires à l’impôt. . Ils sont donc obligé de se serrer la ceinture en sacrifiant, le reste de la population,et l’arrière garde du prolétariat, c’est à dire ceux d’entre eux qui on le moins la capacité de nuire au pays pour faire valoir leurs intérêts.

Mais surtout, ils sont bine obligé de continuer à emprunter pour se payer eux même.

C’est un peu comme en France mais en pire. Rappelons que chez nous, nous avons 57% de PIB de dépense dirigées par l’état, dont une bonne partie de transfert a sein de la classe moyenne et sans regard pour les plus pauvres, et des frais de fonctionnement ( c’est à dire des salaires) pus que d’investissement.

C’est dur este une règle en Europe, plus un parti est à gauche de la gauche, plus il est composé de bénéficiaires de la dépense publique, plus il est favorable à emprunter encore ( "pour relancer l’activité en consommant plus... !), et plus il est défavorable au remboursement des dettes sans vouloir pour autant cesser d’emprunter.

Ainsi, Macron va, un peu, serrer la ceinture à la partie de l’état qui vote le moins pour lui. Tenter de rembourser un peu la dette ou de la limiter, parce qu’il n’est pas entièrement dépendant des dépendeur de la dette, mais aussi de ceux qui la financent ( pour une part non négligeable, des épargnants français).

Les fifi eux seraient obliger d’ouvrir les vannes pour arroser leur clientèle, donc de vendre effectivement les bijoux de famille pour financer plus de dette encore...

En Grèce, on peut imaginer qu’un parti plus libéral au pouvoir, et donc plus sensible aux intérêts des entreprises grecques, n’aurait peut être pas si facilement vendu les ports et aéroports par souci de l’intérêt du pays.

Il ne faut pas oublier que contrairement à ce l’article laisse entendre, on n’a jamais vraiment réussi à obliger quelqu’un à s’endetter contre son gré, et une fois l’argent reçu, il est bien passé quelque part.


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