Il est un fait que la France n’est pas née avec la Révolution BOURGEOISE de 1789, elle n’est non plus pas morte à partir de la Constitution de l’An 2. Elle est une continuité, mais ce que nous pouvons observer depuis une trentaine d’années,, sous l’égide des forces obscurantistes atlantistes et du Grand Capital, c’est qu’il existe dans notre pays, la France, une entreprise de démolition, pan après pan, de tout ce qui jusqu’à présent, n’avait dérangé personne, pas plus une croix érigée, qu’un Code du Travail ! L’héritage du CNR !
Ce sont les mêmes, ne l’oublions pas, à l’origine de ces batailles mortifères qui organisent la mise à sac du pays, derrière l’UE et les Banques, et le complexe militaro industriel, au travers des lois essentielles, cadres, ils légifèrent, ils ne s’arrêtent absolument pas de RE-ORGANISER le pays, sous le prétexte de REFORMES. A cela vient s’ajouter la haine du grand bourgeois pour ce qui ne lui ressemble pas.
Ceux qui se prétendent « libres penseurs » actuels accordent-ils aux autres, la liberté de penser ou de croire en ce qu’ils considèrent leur héritage« spirituel » ? Revenant sempiternellement sur de vielles querelles stériles comme la loi de 1905 ! Mais bon Dieu ! tout cela sent la naphtaline, l’arsenic et les vieux godillots !
Avons-nous, dans ce pays, le droit de respirer encore ? Quelle nouvelle avanie va-t-on encore inventer pour faire chier le peuple ? Et alors, qu’est-ce qui peut bien donner de l’urticaire à quelques clampins devant une croix ?
Les mêmes qui considèrent quasi normales ,les grandes affiches publicitaires de « surgar dadies/ babies » incitant à la prostitution des jeunes étudiantes, considéreraient dans le même temps, scandaleux, une simple croix érigée en place publique ? Et Ils s’offusquent ? Mais quel sens donné aux hiérarchies !
Ce déversement de bile signe bien là l’intention malfaisante d’une poignée d’activistes chargés de la destruction du pays ! Ils sont à la manœuvre, comme ils le sont aussi derrière TOUS les médias pour adouber les lois les plus anti-sociales. Ces petites querelles par ci, par là signent la réalité sordide de l’actualité journalière dans ce pays et sa mise à mort programmée.