Moui.. Je ne suis pas sur que la technologie soit le problème, je vois que c’est plus les pouvoirs politico financiers qu’elle permet qui devienent incompatibles.
Je me demande même, si la technologie était poussée, ne nous imposerait-elle pas une forme de décroissance ?
J’ai vu un prototype de voiture avec « moteurs roues », très facile à construire et j’ai vu sur une vidéo quebequoise que les chinois investissait dans le réduction de consommation électrique en parallèle du développement des batteries, il y aurait du grain encore à moudre de ce coté là ! Donc à voir les développements
Je travaille avec de la technologie informatique pour le Btp, donc pour la réalisation de choses concrètes. Si on utilisait le plein potentiel de ces technologies nous serions obligés de changer nos pratiques et je suis prèt à garantir que l’on ferait des économies écologiques et que nos économies financières serait obligées de s’adapter mais sous un renouveau qui passerait par une forme de décroissance, (en rapport avec nos « besoins » de croissance) avant de se reconstituer comme une économie de ressource.
Si la technologie était developpée pour être la plus efficace et écologiquement adaptée possible je ne pense pas qu’elle nous mènerait dans le trou.
On peut faire tous les rêves démographique que l’on veut, il n’empèche que l’on restera dans une dynamique exponentielle même si on arrive à limiter la profusion. Qu’est-ce à dire, que nous sommes condamnés ? Ou faut-il définir un quota viable d’humain pour la terre ?
C’est notre rapport avec notre millieu naturel qui va devoir changer ; en prenant en compte vraiment qu’il n’est pas infini. A partir de là c’est cette « finitude » qui ferait la loi économique, l’ambition humaine allant se « caser » ailleurs, dans la préservation et la continuation de la compréhension de notre environnement, de notre dépendance à celui-ci et de construire le dépassement du celui-là même, par exemple...
L’avenir est un mystère, il n’y a qu’en étant « humainement » intelligent que nous persisteront, sinon ce sera au suivant.
Je ne pense pas que nous en ayont fini avec notre problématique d’exister et de ne pas savoir pourquoi...