Salut,
Qu’il parle peuple, qu’il use de mots du langage courant, je m’en fiche d’une force, après tout pourquoi pas. Un Chirac n’était en rien un poète, et on le considérait cela avec bienveillance.
Ce qui me dérange, ce sont tous ces tours de vis successifs envers les pauvres qui trinquent de plus en plus, alors que des comptes on devrait d’abord les demander à Gattaz et tous ses potes.
Car les plus grands trous sont d’abord creusés par les professionnels exemple dans le domaine médical, où 10% seulement des escroqueries sont le fait du quidam de base.
Tous nos libéraux, qui n’ont qu’amour et yeux de biche pour ce qui se fait aux « States » ; oublient volontairement où non, que c’est un pays qui a aussi énormément de contraintes et si tu n’es pas dans les clous, tu prends cher ... le mythe du tout est possible est bien souvent un mirage. Exemple là aussi, un chômage réel autour des 20 % et une masse de 40 millions de personnes qui a recours aux « food stamps » ... mais chut, c’est le modèle qu’il faut suivre.