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Commentaire de JC_Lavau

sur Les femmes n'ont pas de reproches à se faire


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JC_Lavau JC_Lavau 5 novembre 2017 13:15

Variante dans l’usage d’ustensiles sur deux pieds, dont « Sporenda » alias Isabelle Alonso s’est beaucoup vantée du temps qu’elle dirigeait les .HyènesdeGuerre :
 "Oui j’ai baisé, mais ça ne compte pas, c’était juste avec un macho qui avait quelque chose à se prouver. Ça tombait bien, moi aussi j’ai quelque chose à prouver..."

 Sur feu le forum des .HyènesdeGuerre, la pseudo « Calixto » était fort active, et elle était présente aussi sur feu le forum du klub S°S à Michèle Dayras. Quelques extraits :
 « C’est parce que vous êtes enceinte que vous êtes aussi illogique ? »
 « Finalement, il est pas si con que ça, mon mec ! ».
 Ah ! Magie de l’amour !
 « Chez lui, il peut pisser debout tant qu’il veut, mais chez moi, il doit pisser assis. »
 "Mon mec, je vais en changer. Ce n’est pas qu’on ne s’entend plus, ni qu’on n’est plus complices, mais je ne le désire plus. Alors je vais en changer.
 - Oh oui ! Tu as raison belle Calixto ! Libérons-nous des schémas asservissants !
"

 Prisonnière de ses réflexes despotiques précipités, et de son fantasme d’omniscience innée, la féministe est totalement infoutue de s’apercevoir à temps qu’elle n’a peut-être pas tout compris, voire rien compris du tout, qu’il lui manque des informations, qu’il lui manque les bases, et elle demeure totalement infoutue de demander un complément d’informations, de demander quel est le point de vue, et encore moins le ressenti de l’autre. Elle n’est du reste pas non plus capable d’exprimer un « Je » suivi d’un verbe de ressenti : elle se précipite dans l’accusation et l’agression d’autrui, c’est sa solution universelle à toutes les difficultés de la vie. Ce que Jacques Salomé appelle la « relation klakson » : « Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! ... »

 Cette pathologie peut évidemment s’exprimer par adhésion à d’autres obédiences paranoïaques ; l’obédience féminazie, héritière des féministes d’autrefois, n’est pas la seule sur le marché des délires préfabriqués et des militantismes totalitaires.

 Quelqu’une de ces militantes pathologiques, que j’ai dû subir durant environ soixante ans, avait dans les années cinquante ajouté à son misandrisme victimaire, une passion militante pour les immeubles de Le Corbusier, et l’architecte lui-même.
 L’idée de Le Corbusier à Marseille d’avoir un étage médian de services communautaires, comprenant notamment une salle de lave-linges communautaires, à gérer en association de copropriétaires, était dans son principe une idée saine, et elle fut conçue en un temps où ces machines étaient encore chères, peu répandues. Ce n’était pas encore une production de masse pour ménages, mais ça avait pénétré le monde professionnel, hôtels et hôpitaux par exemple, avec des machines de taille adaptée : grosses. Finalement cette réalisation a échoué au fil des années : la gestion associative devenant une mission impossible dans une société non-associative et de plus en plus individualiste, voire incivique. L’un des responsables associatifs en avait rendu compte en termes frappants.

 N’ayant jamais eu les bases en électricité ni en physique, ni en dimensionnement de moteurs ni de machines, et ne soupçonnant rien de son ignorance, la présomptueuse militante pathologique en question coqueriquait ce qu’elle présumait être l’ignorance et l’illogisme des Zautres : "Si l’électricité peut tourner pour cinq kilos de linge, elle tournera pareil pour cinquante kilos ! C’est un problème d’arithmétique élémentaire !". En militantisme paranoïaque, celui-ci comme en misandrisme victimaire, on coquerique, on invective, on accuse et on insulte avant de vérifier quoi que ce soit, avant de chercher les compléments d’information indispensables.

 C’est juste une variante de la pathologie narcissique. Une de plus. Mais une variante communautaire, actuellement hégémonique dans nos pays surenveloppés. Voir par exemple les falsifications ethnographiques de Françoise Héritier régner dans toute la presse, et jusqu’à l’Institut de France. Hégémonie... Exactement comme la doctrine de Lyssenko fut hégémonique quelques décennies en URSS. Tiens justement, comme Lyssenko, Françoise Héritier professe aussi l’hérédité des caractères individuels acquis. Ce fut la même imposture au long des concours agricoles britanniques du 19e et 20e siècle : on vendait fort cher des taureaux-phénomènes ou des verrats-phénomènes, en faisant croire que leur forte taille était due à une sélection génétique. Ils étaient juste d’excellents éleveurs...
 http://fabrice-nicolino.com/index.php

Les plus sçavants piscologues négligent malheureusement l’un des plus lourds fardeaux qui pèsent sur les épaules de ces féministes qui malgré les meilleures mises en garde, persistent à demeurer dans l’hétérosexualité, par exemple parce qu’elles ont provisoirement besoin d’un reproducteur pour s’assurer d’un cheptel de petits : Comment choisir un mâle de façon à pouvoir le mépriser, le dominer et le haïr tout son soûl ?

Vous le choisirez le plus faible et le plus taré possible, d’humeur la plus incompatible. Ensuite c’est au choix, si vous voulez surtout le maltraiter et le mépriser au quotidien, prenez le plus immature et le plus dépendant des hommes. Si vous voulez le haïr au maximum après avoir obtenu de lui une ou plusieurs grossesses, évidemment il sera plus jouissif de le choisir plus viril et plus impulsif.

Ensuite, il vous faut avoir une idée du rythme de votre bascule flip-flop : amour, désamour, amour, désamour, etc. jusqu’au désamour final. Le cas le plus connu est : « Next mood change in six minutes ».

Pour obtenir une grossesse d’un beau viril qui sera ensuite mis à la porte, il vaudrait mieux choisir un rythme sur six mois. Mais êtes-vous maîtresse du rythme de votre flip-flop ? Celui-là demeure un des choix les plus prisés par les vraies féministes : il facilite beaucoup votre propriété privée exclusive sur votre cheptel d’enfants, dont ensuite vous ferez ce qu’il vous plaira.

Alors que si vous vous en tenez sur un flip-flop de période inférieure à la journée ou à l’heure, vous aurez du mal à changer souvent de mâle à maltraiter, il vous faudra rester avec celui qui est assez bonne poire, assez dépendant pour ne pas vous jeter par dessus les moulins. Sinon, les autres mâles que vous tenterez de capturer pour les faire entrer sous votre maltraitance s’apercevront trop vite de votre jeu et se dégageront à temps. Vous voilà condamnée à maltraiter stable, à tenir stables les pires situations sans issue.

Il peut être délicat de choisir le moment où l’on déverse des torrents d’injures à la tête du mâle qui fait un dur chantier chez vous. Si vous êtes trop impulsive, vous déclenchez ça trop tôt, et il rentre immédiatement chez lui en vous laissant sur les bras le chantier inachevé, que vous êtes bien embarrassée pour terminer. Il vaut mieux attendre le moment où il n’a plus guère que ses outils à nettoyer. Comme ça vous jouissez immédiatement de tout le résultat des travaux. De la ruse, que diable ! De la ruse, à la guerre ! Savoir paraître faible quand la force extraordinaire s’approche insoupçonnée, voilà l’art de la guerre qui nous a été enseigné voici déjà vingt-trois siècles. Et comme l’enseignait le maître d’armes à monsieur Jourdain : « Tout l’art des armes en famille consiste à infliger le maximum de coups à son proche, sans s’en ramasser aucun en retour. »

Quand vous êtes féministe, il vous est interdit de former un « nous » de couple hétérosexuel, car l’hétérosexualité est contre nature. Vos seuls « nous » ne sont formés qu’avec votre maman, et vos copines féministes. C’est à elles que vous rendez compte de toutes les avanies que vous faites subir à votre « mec ». Le jeu consiste à s’épater l’une l’autre en racontant le pire qu’on lui aura fait subir. Sinon, elles vous traiteront d’hétéro...


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