@Taverne
Bah justement j’en ai vraiment pas l’impression.
Le « féminisme » d’aujourd’hui (politique), ce sont des revendications cavernaires comme si on était soixante ans en arrière et que les femmes étaient encore aux fourneaux. C’est du n’importe quoi.
C’est comme ce sujet sur « balancetonporc », où préférait faire une véritable chasse aux sorcières plutôt que d’aller voir la police ou la justice. Avec bien sûr son lot de victimes directes et indirectes, mais ça pourquoi n’en parle-t-on pas ? Pourquoi tout le monde s’en fout et dit que c’est « normal » ?Et puis j’en ai marre qu’on stigmatise forcément les hommes, comme si les femmes n’avaient absolument rien à se reprocher. Tout ceci n’est rien que de la politique et rien d’autre.
Concernant le monde du travail, ce sont des entreprises qui ont toujours été coupables de l’inégalité du statut des hommes et des femmes - sous prétexte qu’elles « peuvent tomber enceinte et donc ne plus être là pendant un moment et faire perdre de l’argent à l’entreprise ».
Pour ma part, je pense que le retour de la religion est dû à l’effondrement de notre système d’intégration, social et par le travail. Effectivement, il est plus facile de se réfugier dans l’irrationnel plutôt que de chercher des solutions durables (ex : la politique française depuis trois décennies), laissant présager un retour des « valeurs traditionnelles » (les mauvaises bien sûr).
Le gouvernement aurait également pu agir pour limiter durablement le prosélytisme de certains courants extrémistes au lieu de les laisser s’implanter encore et toujours.
* " la honte se trouve du côté de la victime seulement et qu’il n’est
pratiquement rien prévu pour lutter contre cela et permettre aux
victimes de porter plainte en justice ?«
Je ne suis pas d’accord. Je peux comprendre la »honte« qu’éprouvent les victimes de ces abus mais garder le silence permet à ces »porcs« de continuer tranquillement sans être inquiété de quoi que ce soit. Du coup c’est quoi la définition de »honte" exactement dans ce cas précis ? La honte d’avoir été violé ou celle d’être complice des futurs abus des types qu’elles n’ont pas dénoncé ?
J’ose espérer, contrairement à ce que vous affirmez, qu’il y a des lois à ce sujet. Si ce n’est pas le cas c’est aux législateurs de trancher.
Enfin bref, pousser sa gueulante comme l’auteur le fait ou même de créer un site de délation en série ne sert à rien. Il faut simplement agir concrètement en allant voir les autorités et faire voter des lois plus précises à ce sujet.