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Commentaire de Christian Labrune

sur La révolution communiste, un siècle plus tard


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Christian Labrune Christian Labrune 8 novembre 2017 21:04

Et puis pourquoi ne pas dire un milliard de morts,

@Laulau
Quand il n’y aurait eu qu’entre un et deux millions de morts, comme dans le Kampuchea démocratique de Pol Pot, ce serait bien suffisant pour qu’on ne veuille plus jamais entendre parler de la plus pourrie de toutes les utopies mortifères.

Quand il n’y aurait que les centaines d’exécutions pratiquées à la Cabaña par le Petit boucher au béret et au cigare qui aimait tant mettre la main à la pâte dans les exécutions, cela suffirait amplement.

Mais la Russie de Lénine et de Staline, la Chine de Mao, c’est du massacre en quantité industrielle. Quand on dit « un million de morts », on ne peut déjà même plus se représenter ce que cela veut dire, l’imagination est dépassée par la réalité : c’est la moitié de la population parisienne intra muros qui, d’un seul coup, cesse d’exister. Or le communisme, c’est des dizaines de millions de morts. C’est plus que Paris et sa banlieue à quoi on ajouterait les plus grandes villes françaises, plus un désastre équivalent affectant quatre ou cinq pays de l’Europe actuelle. Soixante-dix ans de communisme, c’est plus que l’élimination de l’ensemble de la population française actuelle.

Viva la muerte !

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