@clément dousset @JL
Bonjour,
j’espère qu’il y a encore moyen de questionner utilement tant vos échanges ici sont éminemment intéressants et gagnent vraiment à se poursuivre.
Si j’ai bien compris le fil des échanges et essaye de reformuler les déductions du dernier commentaire de l’auteur, on en viendrait donc à considérer que les fonctions neuronales spécifiques au règne animal permettraient de capter de la façon la plus aboutie qui soit (dans le sens de connue à ce jour) les forces fondamentales qui animent et régissent l’ensemble des signaux et relations possibles de la matière a priori sous toutes ses formes (qu’il est alors ici à considérer comme axiomiques sur le plan de l’évolution/adaptation de tout ce qui est différenciant/indifférencié, compatible/incompatible, in fine attractif/répulsif ) ?
Partant il y a(urait) une démonstration manifeste des tendances évolutives naturelles néguentropiques.
Et/mais dans le dernier commentaire de JL, et là pour résumer pour en venir à l’essentiel, ce conatus ne pourrait selon lui en aucune façon être circonscrit de façon artificielle.
Or cela ne présuppose t’il pas que cette « énergie vitale » SE DEVRAIT d’être inconnue/inconnaissable ?
Mais pourquoi donc puisqu’on est là au delà même de toute finalité/nécessité causale ?
Ne peut on pas dès lors plutôt a contrario considérer que ce phénomène jusqu’ici insondable, insaisissable ne l’est/ne le serait que jusqu’au moment où il puisse justement être analysé, compris, formalisé de façon aboutie, délibérée, ordonnée dans toutes ses acceptations physiques et psychiques ?